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Concoret

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L’incendie du Château de Comper

Le 27 janvier 1790, au cours des révoltes agraires qui agitent la région, une troupe d’environ quatre-cents hommes se rend au château de Comper en Concoret pour réclamer une renonciation écrite du seigneur à ses droits féodaux. Par ailleurs, après avoir obtenu les titres de la seigneurie, les émeutiers les brûlent dans la cour, puis se livrent au pillage et mettent le feu au château. L’incendie est éteint le 29 janvier par les habitants de Concoret.

La rentabilisation des landes forestières au 19e siècle

L’extension des landes à l’intérieur du massif forestier de Paimpont est consécutive à l’établissement de forges industrielles à partir du milieu du 17e siècle. Durant deux siècles, c’est sur ces vastes étendues non rentables pour les maitres des forges, que se concentrent les derniers usages forestiers.

Au début du 19e siècle, de nouvelles méthodes sylvicoles de rentabilisation des landes remettent en cause ces derniers droits d’usages. Les plantations de pins maritimes se multiplient en forêt de Paimpont permettant aux propriétaires de définitivement exclure les usagers de la grande propriété forestière.

Le Chêne à Guillotin

Cet arbre remarquable, plusieurs fois centenaire, fut d’abord appelé « Chêne des Rues Éon » au 19e siècle avant de devenir « Chêne à Guillotin » dans les années 1970, du nom d’un prêtre réfractaire réfugié à Concoret pendant la Terreur. Ce chêne est situé aux Rues Éon en Concoret, à une centaine de mètres du château du Rox.

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