La création du sanctuaire marial de la Grotte de Paimpont en 1884 est à l’origine d’un renouveau du culte de Judicaël et d’une nouvelle légende : l’apparition de la Vierge à Judicaël et le jaillissement de la source de Notre-Dame de Paimpont.
Après avoir transité par des camps de prisonniers, les P.G.A. sont affectés chez des employeurs privés ou dans des commandos de travail. La grande majorité de ces commandos est employée à la construction de routes et de chemins vicinaux sur des communes du massif forestier.
En 1846, Louis-Philippe cherche à acquérir la forêt de Paimpont. Ce projet s’inscrit dans une stratégie visant à contrer ses opposants légitimistes en Bretagne.
Le Val aux Faux Amants ou « Val sans Retour » trouve son origine dans la littérature de la première moitié du 13e siècle. Au 19e siècle, les controverses sur sa localisation en forêt de Paimpont aboutissent à son implantation dans la vallée de Gurvant (ou de Rauco) près de Tréhorenteuc.
Des habitants du village de Beauvais en Paimpont, au lieudit « Hucheloup », ont été témoins d’un phénomène inexpliqué apparu à l’orée de la forêt il y a quelques semaines.
« Le sonnou qui de la nuit ne chôma… » est un conte écrit par Henri Thébault en 1960. Il raconte les déboires de Pierre Hautpas, violoniste de la forêt de Paimpont qui de retour d’une veillée dut passer la nuit dans une fosse en compagnie d’un loup.
Les trois alisiers répertoriés en tant qu’Arbres remarquables en Bretagne sont sur le territoire de Brocéliande : l’alisier torminal des Forges de Paimpont, l’alisier du Col en Augan et l’alisier de Trémelin en Iffendic.
Le hêtre de la Gelée était un Arbre remarquable situé au lieu-dit « la Gelée » à quinze cents mètres du bourg de Paimpont, sur une ligne forestière menant à la maison de garde éponyme. Malade, il a été abattu à la fin du siècle dernier.
La présence du loup en forêt de Paimpont au 19e siècle est attestée par de nombreux documents d’archives. La volonté institutionnelle de l’éradiquer, ainsi que la croissance démographique qui réduit son espace vital ne tardent pas à faire sentir leurs effets. Les loups encore nombreux vers 1800 ont disparu cent ans plus tard.
Une pièce de monnaie massaliote (320-49 av. J.-C.) a été découverte à Paimpont dans la deuxième moitié du 19e siècle. La présence de cette monnaie « exotique » en forêt de Paimpont interroge.
La chapelle et les terres de Saint-Ahan en Iffendic on été données par Raoul II de Gaël-Montfort en 1124 aux bénédictines de Saint-Samson de Telhouët. La chapelle qui a pris le nom de Saint-Jehan au 18e siècle est en ruine depuis la fin du 19e siécle.
Dès les années 1950, l’Université s’invite sur le massif forestier de Paimpont. Elle s’institue sous la forme d’un équipement moderne qui voit le jour en 1967 au lieudit « Beauvais ». Il est conçu dès l’origine comme un outil pédagogique de première importance qui permet aux étudiants en biologie d’observer les plantes et animaux en milieu naturel.
Le moulin à papier de la Ville-Danet en Paimpont, fondé en 1635, était situé sur un bief parallèle au ruisseau du Rostel (ruisseau de Lambrun). Aujourd’hui, le bief d’alimentation a disparu et le moulin est en ruines.
L’Hotié de Viviane est une sépulture du Néolithique final située près du hameau de la « Touche Guérin » en Paimpont, à 500 mètres au sud-est du Val sans retour.