Enfance rurale à Mauron
Joseph Boulé évoque le décalage culturel entre enfants de Mauron et petits Parisiens lors des grandes vacances, dans les années 1950.
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Joseph Boulé évoque le décalage culturel entre enfants de Mauron et petits Parisiens lors des grandes vacances, dans les années 1950.
Vers 1850, un émule d’Icare a tenté de s’envoler en s’élançant du Rocher de Rumigny en Plélan le Grand. Il s’agit de Monsieur Maguette, ingénieur aux Forges de Paimpont dans les années 1830-1840.
Quand une morte prévient une de ses proches de ce qui vient de lui arriver.
Quand le cadavre d’un enfant mort-né de Saint Gonlay est pris pour ce qu’il n’est pas.
La mère Secouette
est une histoire d’Ernestine Lorand dans laquelle un « fantôme » sème la panique à la sortie des champs.
La Riboulette
est une histoire d’Ernestine Lorand dans laquelle une vache se prend pour un taureau.
Les âmes de romains morts depuis des siècles hantent la vallée de l’Aff au Thélin, comme le rapporte cette croyance publiée par l’abbé Le Claire en 1915.
Une histoire rapportée par Joseph Boulé
Ce récit nous est parvenu grâce au témoignage de Joseph Boulé, 7e du prénom. Cette histoire s’est déroulée vers 1830. Elle est restée très connue des habitants du Bois-de-La-Roche en Néant.
L’abbé Amand Boulé en a donné une version raccourcie dans son opuscule sur le Bois-de-La-Roche. BOULÉ, abbé Armand, Le Passé prestigieux du Bois-de-la-Roche et de son château, Le Ploërmelais, 1967, 34 p. Voici une version plus détaillée, publiée en 2018 dans Souche, que de (...)
L’histoire du diable à l’école nous est parvenue grâce au témoignage de Joseph Boulé, élève le l’école maternelle privée de Mauron dans les années 1947-1950.
Ernestine Lorand raconte ce qu’il advint d’un gars qui avait passé la nuit du dernier jour d’avril en forêt de Brocéliande.