La vente de la forêt de Brécilien
Au 17e siècle, le duc de Thouars, Henri III de La Trémoille, se voit dans l’obligation de vendre ses biens en Bretagne dont la forêt de Brécilien située dans le comté de Montfort.
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Au 17e siècle, le duc de Thouars, Henri III de La Trémoille, se voit dans l’obligation de vendre ses biens en Bretagne dont la forêt de Brécilien située dans le comté de Montfort.
La motte castrale, toujours visible au Gué de Plélan, est dite « Motte Salomon » bien qu’aucune source n’atteste d’un quelconque château au 9e siècle. Les historiens d’Ancien Régime pensaient que le roi de Bretagne y avait une résidence et fondé un monastère, confondant le hameau de Plélan avec l’ensemble de la paroisse primitive du même nom, dont faisait partie Maxent. La présence de la motte n’a fait qu’affermir la croyance populaire d’autant que le règne de Salomon a été magnifié au fil du temps.
La (...)
Selon une tradition locale, sainte Onenne se serait établie en lisière de Tréhorenteuc au 7e siècle, au lieu-dit « les Mazeries », appelé aussi « château de Sainte-Onenne ».
Cet arbre remarquable, plusieurs fois centenaire, fut d’abord appelé « Chêne des Rues Éon » au 19e siècle avant de devenir « Chêne à Guillotin » dans les années 1970, du nom d’un prêtre réfractaire réfugié à Concoret pendant la Terreur. Ce chêne est situé aux Rues Éon en Concoret, à une centaine de mètres du château du Rox.
Le fief du Tellain, attesté depuis le 15e siècle, appartenait à la seigneurie de Plélan. Son territoire couvrait environ un millier d’hectares et comprenait tout l’ouest de la seigneurie. Ses habitants ont formé une communauté paysanne possédant des droits particuliers qui ont perduré jusqu’au milieu du 19e siècle.
Le rocher de Rumigny est un escarpement rocheux situé dans les landes du Thélin entre la Vieille-Ville et la Buslais en Plélan-le-Grand. Il a pris ce nom après avoir abrité l’état-major du général de Rumigny lors de l’installation du camp du Thélin en août 1843.
Le lieudit « Point-Clos » est situé au nord du massif de Brocéliande, en forêt domaniale de Gaël-Paimpont. Il abrite les vestiges d’un ancien camp d’aviation créé en 1922. La Luftwaffe occupe le camp de 1940 à 1944. L’aviation alliée l’utilise du début août à la fin septembre 1944.
Le camp d’aviation de Point-Clos est investi en juin 1940 par la Luftwaffe. C’est un terrain de réserve que l’armée de l’air américaine utilise en 1944 comme aérodrome de repli pendant quelques semaines. Le camp de Point-Clos est démilitarisé à la fin de la guerre
Onze ans après la Libération, Point-Clos perd définitivement sa fonction militaire et aéronautique. Une succession de projets émergent alors et s’enchevêtrent sans se compléter vraiment, selon des logiques plus ou moins discordantes.
Au 13e siècle, une partie de la seigneurie de Montfort devient propriété des seigneurs de Lohéac. La forêt de Brécilien se trouve divisée de moitié dans sa partie orientale d’un quartier de forêt appelé « forêt de Lohéac. »