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Légendaire chrétien

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La cane de Montfort

Le miracle de la cane de Montfort est attesté depuis la fin du 15e siècle par des procès-verbaux ainsi que par une importante bibliographie. L’examen de ces documents révèle une origine mythique derrière la christianisation de la légende par le clergé local.

La cane de Montfort et ses représentations disparues

L’église Saint-Nicolas de Montfort abritait plusieurs représentations du miracle de la cane. Cette légende était sculptée sur le maître-autel de l’église, représentée sur un vitrail du 16e siècle, sur une bannière et sur une statue de saint Nicolas du 18e siècle. Ces représentations nous sont connues par des descriptions partielles ou des dessins qui ont survécu à la destruction de l’église en 1798.

La cane de Montfort dans les traditions populaires

Du 15e siècle à la Révolution, le clergé a gardé le contrôle sur la légende de la cane de Montfort, imposant sa vision aux nombreux auteurs qui s’y sont intéressés. Au début du 19e siècle, l’écrit se libère de l’emprise cléricale et de nouveaux éléments apparaissent, émanant de sources populaires : chansons, croyances, versions différentes de la légende...

Onenne

Onenne est la patronne secondaire de Tréhorenteuc. C’est Eutrope, évêque de Saintes, qui est d’après la tradition locale le premier saint de la paroisse. Considérée comme une des sœurs du roi Judicaël, Onenne aurait eu une existence historique à la fin du 6e ou au début du 7e siècle.
Onenne a aussi été appelée Onenna, Onnen, Onène ou Ouenne. Son culte n’est attesté que dans la seule paroisse de Tréhorenteuc. Elle possédait son tombeau dans l’église, où trois statues lui étaient dédiées. Les paroissiens se (...)