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Judicaël est un personnage historique qui règne sur la Domnonée armoricaine dans la première moitié du 7e siècle. Son histoire n’est que partiellement connue des historiens. Son nom est associé à celui de saint Méen, fondateur du monastère de Gaël. À l’issue de son règne, il se retire au monastère de saint Méen où il meurt en odeur de sainteté. Ultérieurement considéré comme un saint, Judicaël est devenu le héros d’une Vie latine.
Auguste Courtault (1855-1911), originaire de Plélan-le-Grand (Ille-et-Vilaine), est un pionnier du cyclisme plus connu sous le nom de « docteur Vélo ».
Alexis Presse, religieux breton et rénovateur de l’abbaye de Boquen, a participé à la Gorsedd Digor de 1951 à Tréhorenteuc.
Procureur fiscal de l’abbaye de Paimpont, Charles-François Allaire a su profiter de la Révolution pour devenir tour à tour député pour les États généraux de 1789, chef de la garde républicaine en 1790 puis second maire de Plélan en 1799.
Dominique Hélaudais est l’un des meneurs de la « Journée de Bricoles » à Rennes en janvier 1789. En août, alors qu’il occupe la fonction de garde de la juridiction de Brécilien et habite au Pas-du-Houx en Paimpont, il est arrêté et incarcéré. Il est libéré à la fin des révoltes agraires de janvier-février 1790.
Le registre de l’abbé Guillotin fait l’objet de plusieurs éditions et commentaires au cours du 19e et du 20e siècle.
L’abbé Pierre-Paul Guillotin est originaire de Concoret. Vicaire de Saint-Servan au début de la Révolution, il refuse en 1792 de prêter serment à la Constitution civile du clergé et entre en clandestinité. Durant huit ans, il se cache sur sa paroisse natale pour continuer à exercer son sacerdoce. Il consigne sur son Registre les actes cultuels ainsi que la chronique de Concoret pendant la Révolution. Il meurt à Saint-Servan en 1814.
Mathurin Louis Guyomard de Comper est le chef chouan du « canton de Concoret ». Ce canton est durant les deux premières chouanneries l’une des quatre subdivisions de la division de Saint-Méen commandée par Pierre Robinault de Saint-Régent.
Thérèse Mélanie Orieulx prend part aux chouanneries de 1794 à 1801. Belle-sœur du chef chouan Pierre Robinault de Saint-Régent, elle fait de sa maison du « Bois-de-la-Roche » un repaire contre-révolutionnaire. Elle se rend à Paris en mars 1801 pour tenter de sauver son beau-frère de la guillotine.
Pierre Robinault de Saint-Régent dit « Pierrot » est le chef chouan de la division de Saint-Méen. Il participe activement aux trois premières chouanneries, notamment dans la région de Mauron. Il est guillotiné en 1801 pour avoir organisé et exécuté l’attentat de la rue Saint-Nicaise contre le Premier consul Napoléon Bonaparte.