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Au cours du 19e siècle, un pôle d’activités autour de l’industrie du cuir regroupant des tanneurs, des marchands de cuir, et un moulin à tan, se développe au village du Gué en Plélan et Paimpont.
L’étang de Paimpont est un étang artificiel créé par l’abbaye de Paimpont à l’époque médiévale. À partir de 1653, des accords passés entre la communauté monastique et les Forges de Paimpont permettent de l’utiliser comme réserve hydraulique. Vendu comme bien national en 1792, il demeure une des principales sources d’alimentation des Forges jusqu’à leur fermeture en 1884. Il est propriété du Conseil Général depuis 1986.
Une reconstitution de fouée au village de Beauvais à Paimpont est réalisée en octobre 2019. Un long métrage relate l’évènement.
Le moulin du Bave - ou de Bave - était un moulin à eau situé sur le versant paimpontais de la vallée de l’Aff. Construit au milieu du 19e siècle pour alimenter l’industrie du cuir beignonnaise en tan, il est abandonné depuis les années 1960 et subsiste à l’état de ruine.
L’extension des landes à l’intérieur du massif forestier de Paimpont est consécutive à l’établissement de forges industrielles à partir du milieu du 17e siècle. Durant deux siècles, c’est sur ces vastes étendues non rentables pour les maitres des forges, que se concentrent les derniers usages forestiers.
Au début du 19e siècle, de nouvelles méthodes sylvicoles de rentabilisation des landes remettent en cause ces derniers droits d’usages. Les plantations de pins maritimes se multiplient en forêt de Paimpont permettant aux propriétaires de définitivement exclure les usagers de la grande propriété forestière.
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Le Val aux Faux Amants ou « Val sans Retour » trouve son origine dans la littérature de la première moitié du 13e siècle. Au 19e siècle, les controverses sur sa localisation en forêt de Paimpont aboutissent à son implantation dans la vallée de Gurvant (ou de Rauco) près de Tréhorenteuc.
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Visite dans le clocher
est l’histoire d’une visite en cachette du clocher de Paimpont par un groupe d’enfants dans les premières années du 20e siècle.
La littérature arthurienne a exercé une influence discrète, cependant réelle sur l’œuvre d’André Breton (1896-1966). Son intérêt pour Brocéliande nait en 1909 avec la parution de L’Enchanteur pourrissant de Guillaume Apollinaire. Attiré par les mythes du Graal et de l’enchanteur Merlin, le poète surréaliste se rend en forêt de Brocéliande, en 1949, 1950 et 1966, quelques mois avant sa mort.
Menou le herquellier
est un conte publié par Jean Markale en 1961.
Les lavandières du Rauco
est un conte de Jean Markale collecté à Tréhorenteuc en 1951. Publié pour la première fois en 1961, ce conte localisé au Val sans Retour en forêt de Paimpont a été repris en gallo par le conteur Patrick Lebrun en 1982.
Baignade perturbée est le souvenir d’enfance d’une baignade interdite à l’étang de la Fenderie en Paimpont vers 1903-1904.
Une histoire rapportée par Armand Gernigon
Armand Gernigon (1893-1981) a écrit en 1980 un souvenir de son enfance daté des années 1903-1904. Le texte est écrit dans un parler local intégrant français et gallo. Cette histoire vécue qu’il a intitulée Baignade Perturbée a été enregistrée le 26 septembre 1980 et diffusée sur Radio France Armorique le 1er octobre de la même année.
Elle a (...)
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Le séquoia géant des Forges de Paimpont, répertorié en tant qu’Arbre remarquable, fait partie d’une ensemble de trois séquoias, situé derrière la nouvelle chapelle.
Le hêtre des Voyageurs est un Arbre remarquable situé au carrefour de Haute-Forêt à Paimpont.
Le hêtre de Ponthus, situé en forêt privée de Paimpont, était classé en tant qu’Arbre remarquable. Il est abattu par la tempête Ciaran dans la nuit du mercredi 1er au jeudi 2 novembre 2023.
Le frêne de Trédéal à Paimpont, Arbre remarquable situé dans une cour de ferme, a poussé sur un tas de résidus de minerai de fer. Infesté par un champignon polypore, il s’écroule dans la nuit du 19 au 20 octobre 2019.
Le chêne des Hindrés est un Arbre remarquable situé dans la partie domaniale de la forêt de Paimpont.
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Les premières écoles communales de Paimpont ont été ouvertes par les Frères de La Mennais en 1835 et les Sœurs de la Charité-Saint-Louis en 1846. Deux écoles laïques l’une de garçons, l’autre de filles, sont créées dans le bourg en application des lois Jules Ferry de 1888 et 1909. Trois écoles laïques mixtes sont implantées à Coganne, Beauvais et Telhouët ; la dernière ferme en 1990.
Une hache à douille de type Maure-de-Bretagne a été découverte en Haute-Forêt de Paimpont en 2016.
Avant 1792 et la nationalisation des biens de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont, le bourg de Paimpont n’existe pas. Ce n’est qu’à partir du milieu du 19e siècle, que de nouvelles constructions apparaissent dans l’enclos abbatial.
Cinq gravures de Théophile Busnel (1843-1918) inspirées par des légendes et traditions de la forêt de Paimpont illustrent un ouvrage d’Adolphe Orain publié en 1882.
Entre 1982 et 2009, treize sites à cupules ont été recensés sur les communes du massif forestier de Paimpont par l’archéologue Jacques Briard puis par le Cerapar. Cet article présente cinq sites supplémentaires découverts depuis, après examen de sources bibliographiques et enquêtes de terrain.