Baron du Taya Aymé-Rodolphe-Marie
Baron du Taya est l’auteur de Brocéliande, ses chevaliers et quelques légendes, paru en 1839, première somme entièrement consacrée à la localisation de Brocéliande en forêt de Paimpont.
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Baron du Taya est l’auteur de Brocéliande, ses chevaliers et quelques légendes, paru en 1839, première somme entièrement consacrée à la localisation de Brocéliande en forêt de Paimpont.
Félix Bellamy publie La forêt de Bréchéliant en 1896, œuvre monumentale consacrée à la littérature arthurienne et à son implantation en forêt de Paimpont. Constamment réédité depuis plus d’un siècle, son ouvrage demeure la référence sur la forêt de Paimpont-Brocéliande.
En 1824, Blanchard de la Musse introduit le légendaire de la Table Ronde en forêt de Paimpont où il localise un premier « Val sans Retour ».
Entre 1905 et 1916, Marie Chevallier a publié six articles dans la Revue des Traditions Populaires dont quatre sont consacrés à des légendes, croyances ou traditions populaires de la région de Paimpont.
L’abbé de La Rue, savant normand du début du 19e siècle, a été l’un des premiers à étudier l’origine de la matière de Bretagne. Il fut aussi un précurseur de la localisation de Brocéliande qu’il situait près de Quintin.
Entre 1942 et 1976, l’abbé Gillard, recteur de Tréhorenteuc, publie une vingtaine de brochures consacrées à la forêt de Brocéliande, son histoire, ses légendes, son patrimoine artistique mais aussi à la mystique des nombres et au zodiaque. À sa mort en 1979, l’abbé Rouxel de Néant-sur-Yvel se charge de la réédition des ses œuvres complètes et de ses textes inédits. Depuis 1994, l’Association pour la Sauvegarde des œuvres de l’Abbé Gillard assure la conservation et la mise à disposition du public des livrets écrits pas l’Abbé Henri Gillard.
Hersart de la Villemarqué publie Visite au Tombeau de Merlin en 1837, article dans lequel il situe la la tombe de l’enchanteur à la fontaine de Barenton en forêt de Paimpont.
Les références à Brocéliande dans l’œuvre d’Anatole Le Braz appartiennent à la dernière période de son activité créatrice. De 1909 à 1925, il se consacre à des études sur la Bretagne qu’il produit sous forme de conférences, préfaces ou essais. Brocéliande apparait alors dans son œuvre comme un thème majeur de son rêve d’union du mouvement politique breton.
Brocéliande, ouvrage de Charles Le Goffic paru à titre posthume en 1932, apparait comme un testament en faveur d’une interrogation critique du légendaire arthurien au profit d’une valorisation de la Bretagne historique.
Le Lycée Armoricain, revue nantaise fondée en 1823, réunit les premiers acteurs de la localisation de Brocéliande en forêt de Paimpont.