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En mai 1940, Jeanne de Gaulle (1860-1840) se réfugie à Paimpont (Ille-et-Vilaine) chez son fils ainé Xavier. Elle décède le 16 juillet 1940, et est inhumée dans le cimetière de Paimpont quatre jours plus tard. Le Général de Gaulle se rend sur sa tombe le 22 août 1944 et la fait déplacer dans le caveau familial de Sainte-Adresse (Seine-Maritime) en novembre 1949.
Après la fermeture des Forges de Paimpont en 1884, l’activité charbonnière décline fortement. Elle se maintient durant la première moitié du 20e siècle. Durant la Seconde Guerre mondiale, elle connait un dernier regain de vitalité. Elle disparait au début des années 1970.
Marian Wilke, Polonais enrôlé de force dans l’armée allemande, arrive à Coëtquidan en janvier 1943. Menacé par la Gestapo, il déserte et trouve de l’aide au Thélin où il reste caché quelques semaines. Il intègre un réseau de résistants puis les F.F.I. en 1944.
Après l’invasion de la Pologne par l’armée allemande en septembre 1939, le camp de Coëtquidan devient le centre principal de l’armée polonaise. De septembre 1939 à juin 1940, des dizaines de milliers de volontaires y affluent afin d’intégrer les unités en constitution. Les installations du camp sont rapidement saturées ; les compagnies en formation cantonnent alors dans les communes environnantes.
Le camp d’aviation de Point-Clos est investi en juin 1940 par la Luftwaffe. C’est un terrain de réserve que l’armée de l’air américaine utilise en 1944 comme aérodrome de repli pendant quelques semaines. Le camp de Point-Clos est démilitarisé à la fin de la guerre
Geneviève Zaepffel, originaire de Paimpont, de son nom de jeune fille Lefeuvre, fait carrière à Paris en tant que médium à partir des années trente. Condamnée à la Libération, elle poursuit ses activités à partir des années cinquante au Manoir du Tertre à Paimpont.