La chapelle Saint-Gicquel de Gouvier
Une chapelle dédiée à saint Gicquel était autrefois située à proximité du village de Gouvier sur la paroisse de Campénéac. Depuis 1913, cette chapelle ruinée se trouve dans l’emprise du camp de Coëtquidan.
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Une chapelle dédiée à saint Gicquel était autrefois située à proximité du village de Gouvier sur la paroisse de Campénéac. Depuis 1913, cette chapelle ruinée se trouve dans l’emprise du camp de Coëtquidan.
La chapelle Sainte-Reine de Beignon est construite à la fin du 17e siècle au bord de la lande de Coëtquidan, à trois kilomètres au sud-ouest du bourg de Beignon. Elle est détruite suite à l’agrandissement du camp de Coëtquidan en 1912. Le culte de sainte Reine est transféré en 1914 dans le bourg de Beignon.
Le bras-reliquaire de saint Judicaël est une pièce d’orfèvrerie datée du 15e siècle, aujourd’hui conservée dans la sacristie de l’église de Paimpont. Selon une tradition mentionnée au début du 20e siècle, il aurait été offert par le duc François II et sa seconde épouse Marguerite de Foix vers 1474.
Nous proposons une autre hypothèse, celle d’une donation à l’abbaye de Paimpont par le duc Jean V et l’abbé Olivier Guiho, dans les premières décennies du 15e siècle.
La « croix des Thélandais » a été implantée en 1566 à l’entrée du bourg de Plélan-le-Grand.
La chapelle et les terres de Saint-Ahan en Iffendic on été données par Raoul II de Gaël-Montfort en 1124 aux bénédictines de Saint-Samson de Telhouët. La chapelle qui a pris le nom de Saint-Jehan au 18e siècle est en ruine depuis la fin du 19e siécle.
Deux chapelles dédiées à saint Marc sont édifiées à Comper, probablement lors de la construction du château, par les seigneurs de Gaël-Montfort. La première chapelle, extérieure au château, bâtie à l’emplacement du « pâtis Saint-Marc », est celle de la frairie de Comper. Elle est détruite lors des guerres de la Ligue, à la fin du 16e siècle. La seconde, située à l’intérieur de l’enceinte du château, est réservée à l’usage des châtelains. Elle est détruite en 1790.
Une chapelle dédiée à saint Étienne est fondée en 1620 au Thélin, sur la paroisse de Plélan-le-Grand. La frairie du Thélin devient une paroisse en 1849. La chapelle est alors remplacée par une première église de style néogothique, inaugurée en 1853, qui tombe bientôt en ruine. Une seconde église de style néoroman, œuvre de l’architecte Arthur Regnault, lui succède à partir de 1901.
L’église Saint-Nicolas de Montfort abritait plusieurs représentations du miracle de la cane. Cette légende était sculptée sur le maître-autel de l’église, représentée sur un vitrail du 16e siècle, sur une bannière et sur une statue de saint Nicolas du 18e siècle. Ces représentations nous sont connues par des descriptions partielles ou des dessins qui ont survécu à la destruction de l’église en 1798.
L’église de Tréhorenteuc abrite une bannière et une croix de procession du 17e siècle, classées par les Monuments Historiques. Ces objets participent de la volonté de christianisation du culte de Sainte-Onenne par les chanoines de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont.
La fontaine Sainte-Onenne est située à quelques centaines de mètres de l’église de Tréhorenteuc. On s’y rendait en procession avec bannière aux fêtes saintes, accompagné d’oies. Des traditions populaires collectées au 19e siècle lui attribuent le pouvoir de guérir différents maux.