La bataille de Mauron - II
Les auteurs qui évoquent la bataille de Mauron (1352) mentionnent quelques combattants anglo-bretons et beaucoup plus de combattants franco-bretons. Parmi ces derniers certains sont difficilement identifiables.
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Les auteurs qui évoquent la bataille de Mauron (1352) mentionnent quelques combattants anglo-bretons et beaucoup plus de combattants franco-bretons. Parmi ces derniers certains sont difficilement identifiables.
La bataille de Mauron s’est déroulée le 14 août 1352. Les sources ne sont pas nombreuses, peu détaillées et quelquefois contradictoires.
La bataille de Mauron (Morbihan) se déroule le 14 août 1352 pendant la Guerre de Succession de Bretagne dite aussi « Guerre des deux Jeanne ».
Le docteur Alphonse Guérin décède le 21 février 1895. Une souscription est lancée à Paris et en Bretagne pour l’édification d’un monument à la mémoire de l’inventeur du pansement ouaté. Le monument, situé sur la place d’Armes de Ploërmel, est inauguré le 13 septembre 1896. Il fait l’objet d’une controverse à propos de la nudité de l’allégorie de la Gloire qui y figure. Il est décidé de le détruire en 1942. Un nouveau monument est dressé devant l’hôpital Alphonse Guérin de Ploërmel.
Hugh Grosvenor (1879-1953), second duc de Westminster, chasse en forêt de Paimpont du 21 janvier au 16 février 1925. Cet événement mondain et cynégétique est à l’origine de la fondation de l’équipage attitré du massif forestier, le Rallye Bretagne.
Le 29 novembre 1883, lors de l’achèvement de la ligne de la Brohinière à Ploërmel, a lieu un grave accident ferroviaire entre deux trains qui se télescopent en fin de journée. Le bilan est de 17 morts et 19 blessés. La majorité des victimes sont originaires du Morbihan, parmi lesquelles huit habitent des communes traversées par la ligne.
L’est et l’ouest de l’Ille-et-Vilaine se révoltent au cours du mois de mars 1793 contre la levée des 300 000 hommes imposée par la Convention nationale. Cette insurrection spontanée annonce les débuts de la chouannerie en mai 1794.
Des révoltes agraires naissent dans les paroisses de Maure, Guer et Augan à partir du 18 janvier 1790, et se propagent en Brocéliande jusqu’au 5 février. Ces insurrections paysannes sont le fait de bandes organisées qui attaquent un château après l’autre, réclamant le renoncement des seigneurs à leurs droits féodaux.
Du 19 janvier au 5 février 1790, la grande majorité des paroisses situées entre Ploërmel, Montfort et Redon se révoltent contre leurs seigneurs. Six mois après les doléances exprimées dans les cahiers de chaque paroisse, les paysans passent aux actes, excédés par la persistance des droits féodaux.
Au matin du 5 février, des soldats en armes attendent les paysans venus en nombre au Bois-de-la-Roche et tirent sur la foule, tuant six paysans. Cette répression sanglante marque la conclusion de deux (...)
Du 18 janvier au 5 février 1790, la grande majorité des paroisses situées entre Ploërmel, Montfort et Redon, entrent en insurrection. Les communautés paysannes qui avaient demandé l’abolition des droits féodaux dans les cahiers de doléances rédigés en avril 1789 se révoltent contre leurs seigneurs, leur réclamant le renoncement aux droits féodaux.