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L’abbé Fouré, exerce son premier ministère à la chapelle Saint-Éloi-des-Forges de Paimpont entre 1863 et 1877. Il est recteur à Maxent de 1887 à 1889. Précurseur de l’Art brut, il est l’auteur des rochers sculptés de Rothéneuf (Ille-et-Vilaine).
Simone Morand (1914-2001) participe au renouveau de la culture de Haute-Bretagne d’après-guerre. Principalement reconnue pour ses collectes de chansons populaires et de recettes de cuisine traditionnelle, elle est aussi la créatrice de la « Godinette », boisson inventée lors des Fêtes Gallèses de Monterfil a la fin des années 1970. Simone Morand est directrice de l’Écomusée de Montfort-sur-Meu de 1980 à 1984.
Entre 1953 et 1955, Jean Delpech (1916-1988) réalise les gravures de quatre des opuscules de l’abbé Gillard ainsi que le dessin de la mosaïque du Cerf Blanc de l’église de Tréhorenteuc.
Cinq gravures de Théophile Busnel (1843-1918) inspirées par des légendes et traditions de la forêt de Paimpont illustrent un ouvrage d’Adolphe Orain publié en 1882.
Henri Saintin (1846-1899) est un peintre paysagiste dont l’œuvre est marquée par ses séjours en Bretagne. En 1881 et 1882, il réalise trois gravures et deux huiles sur toiles de la région de Montfort-sur-Meu.
Entre 1859 et 1861, deux élèves de François-Édouard Picot à l’École des beaux-arts de Paris, Francis Blin (1827-1866) et Amédée Guérard (1824-1898), se retrouvent à Monterfil pour y peindre des paysages et des scènes de vie.
Hyacinthe Lorette (1794 -1872) est l’auteur de trois lithographies de l’arrondissement de Montfort, représentant des vues de Montfort, Saint-Méen et Paimpont, publiées dans la deuxième série de l’Album breton, le département d’Ille-et-Vilaine en 1843.
Alfred Ramé (1826-1886) est un pionnier de l’histoire des arts médiévaux en Bretagne. Auteur d’une soixantaine d’articles dans des revues savantes régionales et nationales, il est venu à de nombreuses reprises en Brocéliande pour y étudier et y dessiner le patrimoine médiéval de ses églises et châteaux.
À partir du début des années 1950, Xavier de Langlais se consacre à la littérature arthurienne et à Brocéliande. Il se rend en forêt de Paimpont, et y rencontre l’abbé Gillard, recteur de Tréhorenteuc.