La légende du Grès Saint-Méen
Le site mégalithique du Grès Saint-Méen, situé en forêt de Montfort, sur la commune de Talensac, est à l’origine de légendes publiées à partir du 19e siècle.
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Le site mégalithique du Grès Saint-Méen, situé en forêt de Montfort, sur la commune de Talensac, est à l’origine de légendes publiées à partir du 19e siècle.
La légende de la Fontaine de Vignouse à Paimpont nous est rapportée par l’abbé Gervy en 1907.
Le chêne Notre-Dame de Saint-Péran était un arbre guérisseur. Son culte attesté depuis 1522 a été déplacé dans l’église Saint-Pierre en 1661 en même temps que la statue qui lui est associé. Un monument votif situé à la sortie du bourg marque l’emplacement du chêne disparu.
La Pâque de Judicaël est un épisode de la Vita Judicaelis (Vie de Judicaël), dans lequel le roi de Domnonée du 7e siècle exempte ses vassaux de toute servitude et redevance pour leur permettre de célébrer la Résurrection du Christ.
Dans un épisode tiré de la Vita judicaelis, Judicäel, roi de Domnonée au 7e siècle, aide un lépreux à traverser une rivière en crue. Après avoir été déposé de l’autre côté de la rivière, ce dernier apparait au souverain breton sous la forme du Christ et lui promet la vie éternelle.
La Vierge de Saint-Étienne est une légende publiée par François Cadic en 1919. Elle raconte l’origine miraculeuse du pèlerinage de la Vierge de Saint-Étienne de Guer.
Le miracle de la cane de Montfort est attesté depuis la fin du 15e siècle par des procès-verbaux ainsi que par une importante bibliographie. L’examen de ces documents révèle une origine mythique derrière la christianisation de la légende par le clergé local.
L’église Saint-Nicolas de Montfort abritait plusieurs représentations du miracle de la cane. Cette légende était sculptée sur le maître-autel de l’église, représentée sur un vitrail du 16e siècle, sur une bannière et sur une statue de saint Nicolas du 18e siècle. Ces représentations nous sont connues par des descriptions partielles ou des dessins qui ont survécu à la destruction de l’église en 1798.
Du 15e siècle à la Révolution, le clergé a gardé le contrôle sur la légende de la cane de Montfort, imposant sa vision aux nombreux auteurs qui s’y sont intéressés. Au début du 19e siècle, l’écrit se libère de l’emprise cléricale et de nouveaux éléments apparaissent, émanant de sources populaires : chansons, croyances, versions différentes de la légende...
Selon une tradition locale, sainte Onenne se serait établie en lisière de Tréhorenteuc au 7e siècle, au lieu-dit « les Mazeries », appelé aussi « château de Sainte-Onenne ».