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Le 30 août 1467, le comte Guy XIV de Laval, propriétaire de la forêt, rédige une charte novatrice, intitulée Usemens et coustumes de la forest de Brécelien, et comme anciennement elle a esté troictée et gouvernée qui réglemente les droits et devoirs respectifs des seigneurs et usagers de la forêt.
Au milieu du 11e siècle, les comtes de Rennes, ducs de Bretagne, concèdent la partie orientale du territoire de Porhoët à la famille de Gaël.
Le territoire de la seigneurie de Gaël comprend la forêt de Brécilien et s’étend au nord de celle-ci.
Au 17e siècle, le duc de Thouars, Henri III de La Trémoille, se voit dans l’obligation de vendre ses biens en Bretagne dont la forêt de Brécilien située dans le comté de Montfort.
Au 13e siècle, une partie de la seigneurie de Montfort devient propriété des seigneurs de Lohéac. La forêt de Brécilien se trouve divisée de moitié dans sa partie orientale d’un quartier de forêt appelé « forêt de Lohéac. »
En 1619, Augustin Du Paz est le premier à écrire une généalogie de la famille de Montauban. Elle fait des Montauban une branche cadette des Rohan. Cette version est reprise par la plupart des historiens.
En 1895, l’historien Arthur de La Borderie conteste vivement cette origine. Il présente une généalogie qui prend naissance dans la famille de Gaël-Montfort.
De nos jours, l’origine des Montauban fait toujours polémique parmi les historiens.