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Archéologie

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Fouquet, Alfred

Alfred Fouquet est un pionnier morbihannais de l’archéologie et du collectage de contes et traditions populaires. Entre 1853 et 1857, il répertorie cinq sites mégalithiques en Brocéliande et collecte la légende de la Bête de la Lohière.

Piéderrière abbé Julien

L’abbé Julien Piéderrère, né à Mauron en 1819, est un érudit dont les deux principales passions sont l’histoire et l’archéologie. Il est l’auteur d’une trentaine d’articles publiés dans des sociétés savantes bretonnes. Ses connaissances sur l’histoire de Brocéliande lui ont valu d’être sollicité par de nombreux auteurs du 19e siècle comme Félix Bellamy, Sigismond Ropartz ou Louis Rosenzweig. Il est aussi l’auteur d’une biographie d’Anne-Toussainte de Volvire.

Briard Jacques

Jacques Briard est l’initiateur de l’archéologie moderne en forêt de Brocéliande. Il a notamment dirigé les fouilles archéologiques de trois sites mégalithiques de la forêt de Paimpont : le Tombeau des Géants, l’Hôtié de Viviane et le Jardin aux Moines.

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Le Grès Saint-Méen

Le Grès Saint-Méen est un mégalithe situé dans le Bois de Montfort sur la commune de Talensac. Mentionné dès 1849, il est associé à une légende ainsi qu’à des traditions populaires relatives à la christianisation de la forêt de Brécilien par saint Méen au 6e siècle.

Les bustes gaulois de Saint-Utel

Une statuette gauloise a été découverte en 1968 par un agriculteur de Saint-Utel en Mauron (Morbihan). Nous ne la connaissons qu’à travers deux photographies prises avant sa disparition définitive dans les années 1990. Une seconde statuette découverte en mauvais état par un autre agriculteur de Saint-Utel a été encastrée dans un mur de ferme. Leur analyse stylistique permet de les dater du second Âge du Fer (IIe-Ier s. av. J.-C.).

La chapelle Saint-Étienne de Guer

La chapelle Saint-Étienne de Guer, datée de la fin du 10e ou du début du 11e siècle, n’est mentionnée pour la première fois qu’en 1408. Elle est qualifiée de prieuré dépendant de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont à partir de 1498. Agrandie au 17e siècle, délaissée au 18e siècle, elle est vendue comme bien national en 1791 et utilisée comme grange au cours du 19e siècle. Depuis 1971, elle est classée monument historique et accessible aux visiteurs.