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Révolution française

La Révolution française est la période de l’histoire de France comprise entre l’ouverture des États généraux, le 5 mai 1789, et le coup d’État du 18 brumaire de Napoléon Bonaparte, le 9 novembre 1799.

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Les émeutes du château du Bois-de-la-Roche

Du 19 janvier au 5 février 1790, la grande majorité des paroisses situées entre Ploërmel, Montfort et Redon se révoltent contre leurs seigneurs. Six mois après les doléances exprimées dans les cahiers de chaque paroisse, les paysans passent aux actes, excédés par la persistance des droits féodaux.
Au matin du 5 février, des soldats en armes attendent les paysans venus en nombre au Bois-de-la-Roche et tirent sur la foule, tuant six paysans. Cette répression sanglante marque la conclusion de deux (...)

Les révoltes agraires de 1790

Du 18 janvier au 5 février 1790, la grande majorité des paroisses situées entre Ploërmel, Montfort et Redon, entrent en insurrection. Les communautés paysannes qui avaient demandé l’abolition des droits féodaux dans les cahiers de doléances rédigés en avril 1789 se révoltent contre leurs seigneurs, leur réclamant le renoncement aux droits féodaux.

Orieulx Thérèse Mélanie

Thérèse Mélanie Orieulx prend part aux chouanneries de 1794 à 1801. Belle-sœur du chef chouan Pierre Robinault de Saint-Régent, elle fait de sa maison du « Bois-de-la-Roche » un repaire contre-révolutionnaire. Elle se rend à Paris en mars 1801 pour tenter de sauver son beau-frère de la guillotine.

Puisaye Joseph de

Joseph de Puisaye, chef de l’Armée catholique et royale d’Ille-et-Vilaine, puis de Bretagne, est venu à deux reprises en forêt de Paimpont. En août 1793, sa tête mise à prix, il se cache à Plélan-le-Grand, Guer et Beignon pendant plusieurs semaines. Il revient en mai 1794 à la tête d’une armée de chouans et vainc les républicains au cours du combat des « landes de Beignon ».

Saint-Régent, Pierre Robinault de

Pierre Robinault de Saint-Régent dit « Pierrot » est le chef chouan de la division de Saint-Méen. Il participe activement aux trois premières chouanneries, notamment dans la région de Mauron. Il est guillotiné en 1801 pour avoir organisé et exécuté l’attentat de la rue Saint-Nicaise contre le Premier consul Napoléon Bonaparte.

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