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1876

La Fontaine de Barenton ou les Deux Souhaits

Un conte d’Ernest du Laurens de la Barre

La Fontaine de Barenton est un conte d’Ernest du Laurens de la Barre écrit en 1876. Ce conte populaire dont l’action se déroule en forêt de Paimpont raconte comment les souhaits du vertueux Fiacre et de l’avare Grégoire ont été exaucés par la fée de Barenton.

Un conte d’Ernest du Laurens de la Barre

La Fontaine de Barenton est un conte d’Ernest du Laurens de la Barre écrit au manoir familial de Coat ar Roc’h à Commana, le 8 août 1876. Du Laurens de la Barre le fait paraitre un an plus tard dans la Revue de Bretagne et de Vendée. —  DU LAURENS DE LA BARRE, Ernest, « La fontaine de Barenton, légende bretonne », Revue de Bretagne et de Vendée, Vol. 41, 1877, p. 32-39, Voir en ligne. —. Il l’a par ailleurs publié en 1881 dans Nouveaux Fantômes Bretons. —  DU LAURENS DE LA BARRE, Ernest, Nouveaux fantômes bretons, Paris, 1881. —

En préambule de ce conte, du Laurens de la Barre évoque la légende du Val sans Retour fraichement implantée en forêt de Paimpont ainsi que les amours de Viviane et Merlin à la célèbre Fontaine de Barenton.

Il y a dans la forêt de Paimpont (l’antique Brocéliande) un val lugubre et sombre : c’était le « Val sans Retour » où les « faux amants » erraient prisonniers, jusqu’au jour marqué par la tendre Viviane, qui, touchée de leurs larmes, venait enfin de les délivrer. Non loin de là se trouve la fontaine, jadis bouillante, de Baranton, dont la margelle était une émeraude. Merlin avait longtemps caché dans ses lieux sa tendresse légendaire pour la fée Viviane.

du Laurens de la Barre (1877) op. cit., p. 32

Cette introduction reprend presque mot pour mot le préambule de La Fée de Brocéliande écrit en 1864. Du Laurens de la Barre est le second conteur, après Émile Souvestre, à collecter et à localiser des contes populaires en forêt de Paimpont-Brocéliande. Cependant, en dehors de son titre et de cette courte introduction, ce conte n’est pas marqué par l’imaginaire arthurien. Il apparait comme un véritable conte populaire construit sur le thème des deux souhaits. Le Val sans Retour et la Fontaine de Barenton ne sont que des éléments permettant d’ancrer le conte dans la nouvelle topographie légendaire de la forêt de Paimpont.

La Fontaine de Barenton est construit sur le même modèle qu’un autre conte de du Laurens de la Barre paru quelques années auparavant : Les korrigans de Tréhorenteuc. Les deux contes ont pour cadre la forêt de Brocéliande et les êtres imaginaires qui l’habitent ont le pouvoir d’exaucer les vœux. Seule la morale de l’histoire diverge, récompensant le vertueux dans l’un, le sorcier malfaisant dans l’autre.

La fontaine de Barenton en 1899
Photographie datée du 12 septembre 1899

Le texte intégral de La Fontaine de Baranton

Histoire

Il y avait dans la forêt de Paimpont (l’antique Brocéliande) un val lugubre et sombre : c’était le val sans retour où les faux amants erraient prisonniers, jusqu’au jour marqué par la tendre Viviane, qui, touchée de leurs larmes, venait enfin les délivrer. Non loin de là se trouve la fontaine, jadis bouillonnante, de Baranton, dont la margelle était une émeraude. Merlin avait longtemps caché dans ces lieux sa tendresse légendaire pour la fée Viviane. Le récit que nous allons raconter, et que l’on pourrait intituler Les deux souhaits, ne remonte pas aussi haut que Merlin, et je ne sais si Viviane gémit encore sur la margelle, devenue pierre, de cette fontaine jadis merveilleuse ; toujours est-il qu’au temps, du reste incertain, de notre simple histoire, la source était gardée, disait-on, par une belle fée, tantôt bonne et secourable, tantôt sévère et cruelle, selon la conscience de celui qui osait l’implorer.

I

Sur le bord de la forêt demeurait alors un vieux bûcheron, accablé d’années et d’enfants. Sa seule fortune était son cœur, que remplissait la crainte de Dieu.
Un soir que, chargé de faix de bois sec ramassé dans la forêt, il traversait, au clair de la lune, le val redouté, il aperçut, assise sur le bord de la fontaine, une belle dame blanche qui pleurait et dont les larmes d’argent tombaient dans l’eau de la source.

Comme Fiacre avait bon cœur, il déposa son faix, et, s’approchant de la fontaine, son chapeau percé à la main, il dit à la belle désolée :
— Vous pleurez, madame ? Ah ! si un pauvre homme pouvait quelque chose pour vous consoler, me voilà.
La dame le considéra en souriant et lui dit :
— Me consoler, mon ami ?... Est-ce possible, moi qui pleure sur la méchanceté humaine, dont je vois les reflets sur la surface de cette eau limpide. Les crimes des hommes y produisent une sorte de tempête ; mais une bonne action en fait sourire le cristal. Tenez, voyez vous-même : la fontaine rit en ce moment. Oui, vous êtes un homme honnête et vertueux ; faites un souhait, il sera exaucé.

— Un souhait, madame ? dit Fiacre ; moi, le pauvre Fiacre, souhaiter quelque chose ?... Ah ! Je ne souhaite rien que du pain pour mes enfants, et le paradis pour nous tous, à la fin de nos jours.
— Brave cœur, fit la dame, vos vœux seront accomplis ; soyez heureux.

Et Fiacre, portant son faix, comme un chrétien qui porte gaiement sa croix, reprit en chantant le chemin de sa maison. Avant d’y arriver, il rencontra son voisin Grégoire, qui lui demanda d’où il venait si joyeux.
— Tu chantes, toi, imbécile, lui dit-il, et pourtant on sait que tu n’as pas le sou. Comment fais-tu ?
— Quand j’ai un sou, répondit le pauvre Fiacre, je n’en désire pas deux ; voilà tout.
— Comment animal, reprit Grégoire, tu veux te moquer de moi ; et je crois que ce bois a été volé dans mon taillis. Prends-y garde ! Dis-moi d’où tu viens, ou je te fais mettre en prison !

— Je reviens de la forêt, du côté de la fontaine de Baranton, où j’ai rencontré une dame toute blanche, qui m’a dit de faire un souhait.
— Un souhait, à toi, double fourbe ; alors je parie que tu as souhaité de l’argent ?
— Non pas, non pas.
— Ou bien une métairie et des rentes, pour ne rien faire, fainéant.
— Pas davantage.
— De l’or, de l’or plein des tonnes ! s’écria Grégoire.
— Ma foi, non : de l’or, des rentes, ça me gênerait pour dormir, comme des souliers pour marcher ; j’ai demandé du pain et le paradis pour ma famille, la dame me l’a promis, et je suis content. Bonsoir, maître Grégoire. Là-dessus, Fiacre tourna le dos à son voisin le pince maille, et s’éloigna en chantant toujours.

Grégoire se mit à réfléchir : Une dame ! Un souhait !... Si j’allais aussi à la fontaine, moi, pour dénicher un bon magot… Mais il est tard, le vent se lève, la nuit sera noire, et le chemin du vallon hanté et difficile… Oh ! je n’irai pas tout seul, au moins.

Il faut dire que Grégoire était un vieil avare peureux, lâche, et, de plus, maigre comme un vrai coucou, et qu’il ne pouvait se décider à se marier, dans la crainte de tomber sur une bourse creuse. Grégoire ne déjeunait pas tous les jours, ou ne déjeunait que le soir. Ce jour-là, il n’avait pas déjeuné : mais l’aventure de Fiacre lui revenait sans cesse, si bien qu’oubliant son régal, il se décida pour le voyage de la forêt. Il se mit donc à retourner toutes ses vieilles poches percées et finit par en retirer cinq ou six sous moisis, destinés à récompenser son compagnon d’aventure. Or, ce compagnon d’aventure était un vagabond sans feu ni lieu, qui gîtait dans une hutte à côté, bâtie avec de la boue sur le terrain de Grégoire.

L’avare, aussitôt, alla relancer le lapin dans son terrier.
— Charlo, lui dit-il, veux-tu gagner six sous sans peine ?
Charlo se leva de mauvaise humeur, et suivit son patron en grattant avec une sorte de rage sa tête ébouriffée.
— Où allons-nous ? fit-il.
— Qu’est-ce que ça te fait, mais je veux l’argent avant d’aller plus loin, car on vous connaît pour un vieux chiche.
Et notre coquin se campa sur le sentier, comme un cheval rétif qui refuse d’avancer.
— Tiens, attrape, animal, fit Grégoire, en lui jetant les six sous promis ; et partons vitement.

Les deux aventuriers prirent alors le chemin de la forêt, dont Charlo le maraudeur connaissait tous les détours. Chemin faisant, Grégoire informa son compagnon du but de l’expédition. Quand ils arrivèrent sous la voûte des grands chênes, il faisait noir comme chez le diable ; la pluie tombait, et le vent, agitant les arbres poussait en travers des sentiers des branches mouillées qui entravaient à chaque pas la marche des deux coureurs de nuit.

— Vilain temps ! chienne d’équipée ! dit Charlo ruisselant ; j’ai bien envie de m’en aller.
— Oh ! n’en fais rien, camarade, dit Grégoire, effrayé à l’idée de rester seul dans la forêt.
— Ce brigand de vent vaut plus de six sous, reprit Charlo, même pour un chichard comme vous. Ainsi, voyez : je veux encore de la monnaie, sinon…
— Oui, oui, je te le promets, fit l’avare, dont les dents claquaient de peur et de froid ; je t’en donnerai douze…non, six autres, au retour ; mais ne t’en va pas.

— Au retour, maître Grégoire, allons donc ! Avec ça que vous avez parole ! Alors, jurez, jurez tout de suite par votre patron, par le diable, qui vous écorchera un jour, comme tous les avares de la terre…
— Tais-toi, tais-toi, malheureux ! Ne parle pas du démon dans un tel endroit et à pareille heure ! Oui, je jure, je jure tout ce que tu voudras. A présent, comme tu es plus fort que moi, marche en avant.
— Quel vieux capon vous faites ! reprit Charlo en soutenant l’avare, qui trébuchait ; tâchez de vous tenir sur vos vieux manches à balai. Mais que le tonnerre m’écrase, si je comprends pourquoi vous allez risquer votre vieille peau à cette satanée fontaine, que le vieux Guillaume doit chauffer ce soir tout exprès pour vous… Du reste, moi, je m’en fiche ; allez tout droit : la fontaine est là, derrière les broussailles.

Grégoire, que la convoitise poussait malgré sa terreur, disparut en clopinant. En ce moment, la nuit était affreuse : la tempête se déchaînait avec violence et le vent secouait les arbres ; la forêt semblait remplie de gémissements. L’avare s’approcha de la fontaine qu’il n’aurait peut-être pas découverte sans une forme blanche qui flottait au-dessus. Bientôt, au milieu de cette vapeur, il distingua la fée ; elle pleurait. Ses larmes coulaient dans l’eau fortement agitée. Le vieux grigou, dont les os cliquetaient, ne savait trop comment entamer l’entretien ; mais la fée, ayant relevé sa chevelure d’or, lui demanda ce qu’il voulait.

— Ce que je veux ? fit Grégoire interloqué, ce que je veux ?... Attendez, voilà que ça me revient : je veux, comme Fiacre, vous savez, Fiacre sans le sou ?..S eulement, je ne serai pas si bête que lui.
— Que souhaitez-vous donc ? dit la dame.
Au même instant, à la lueur d’un éclair qui sillonna le feuillage rouge, on vit bouillir l’eau de la fontaine ; mais le ladre n’y fit pas attention.

— Pas de bonheur sans argent, reprit le ladre ; ainsi, madame, puisque je suis venu ici, au risque de me rompre le cou donnez-moi une femme riche, belle ou laide, ça m’est égal, et soufflez-moi le nom du fermier qui a le plus gros magot de la paroisse. Un violent coup de tonnerre ébranla les rochers, et, au milieu du fracas de l’orage, Grégoire crut distinguer un nom prononcé dans le lointain. La dame blanche avait disparu. Le peureux se trouvait seul au bord de la fontaine et, succombant à la terreur, il roula sur les rochers…

— Que diable faisiez-vous donc là ? dit Charlo, qui survint fort à propos. Un pas de plus, et vous étiez cuit, vilain merle, dans l’eau bouillante. Ma foi, ce n’eût pas été grand dommage… Allons, tenons-nous droit, ajouta le vagabond en redressant rudement le squelette trempé jusqu’aux os.

— Oh ! oh ! oui, balbutia Grégoire, qui avait le hoquet ; mais, dis-moi, n’as-tu pas entendu crier là-bas dans la forêt ?
— Sans doute, à preuve que j’ai cru que vous appeliez Thomas à votre secours.
— Thomas ! s’écria l’avare avec une explosion comique. Thomas oui, c’est bien cela ! Voilà le magot trouvé !!!

Puis ils reprirent, clopin, clopan, le chemin du village ; et, comme Grégoire marmottait à chaque instant le nom de Thomas, Charlo pensait que la cervelle du vieux pince-maille était restée au fond de la fontaine.

II

Or, un mois plus tard, c’était la noce de Grégoire et de la fille de Thomas, Jacqueline, jeune fille de quarante ans, assez bien tournée, sauf qu’elle avait une bosse raisonnable entre les deux épaules et des yeux roux assez mal ensemble ; de plus, brutale comme un roulier et aimant l’eau-de-vie autant qu’un calfat de Saint-Malo.

Voilà une jolie fille ! qu’en dites-vous ? et une jolie noce ! un vieux coucou étique et une fresaie ivre et lugubre…Cela ressemblait à un enterrement, car le biniou, auquel on ne donnait pas de cidre, avait des sons pleurards bons pour faire danser les morts. Mais Grégoire tenait le magot, et le dos de Jacqueline ne l’offusquait pas du tout. Pourtant, sur le soir, le nouveau marié s’en alla, faute de mieux, faire un tour dans le verger en méditant sur la grosseur du magot. Alors il entendit, derrière la haie, les finauds du village qui disaient :

— En voilà un avare joliment attrapé avec la bosse de sa femme !
— Encore si elle était d’argent ! disait un autre. Mais va-t’en voir…
— Causez toujours, mes petits, pensait Grégoire ; moi, je tiens le sac, et ça me suffit.

Mais il paraît que cela ne lui suffisait pas tout à fait, car dès ce moment il devint plus triste et plus maigre que jamais : il tenait à peine sur les jambes, et l’on voyait le jour au travers de son corps. Enfin, tourmenté par l’inquiétude, il alla trouver son beau-père et lui dit :
— À présent que je suis votre gendre, nous compterons, si vous voulez, le gros sac qui est là, dans votre armoire.
— Sans doute, sans doute, répondit le rusé bonhomme, nous le ferons dans trois semaines ; et en attendant, vous ferez les avances, afin de bien monter notre métairie…Mais gare, voici Jacqueline qui arrive, et elle n’aime pas rendre ses comptes, vous savez. Grégoire ne le savait que trop et se sauva en se frottant les épaules. Il était temps, car il y avait du vent dans les voiles, comme disent les matelots, et l’abordage de la Jacqueline eût été rude.

Cependant l’avare, qui n’osait plus ni boire ni manger devant sa femme, attendait vainement le jour où le magot serait compté. Enfin, n’y pouvant plus tenir, un soir que Jacqueline et Thomas étaient allés faire ribote (passez-moi le mot) dans un cabaret du village, avec l’argent de Grégoire et à la santé de Grégoire, le ladre, battu, mélancolique et presque ruiné, se hissa par l’échelle dans le grenier où se trouvait enfermé le sac.

Là, face à face avec l’armoire fantastique et remplie de promesses, l’armoire, unique objet de ses hallucinations, il se livra contre ce meuble tentateur à des voies de fait épouvantables. Un coup de pied, un coup de pied indécent, et l’armoire montra ses arcanes. Il était là le sac, le sac de ses rêves, le sac gonflé par ses calculs avaricieux, le sac qui dorait le dos de Jacqueline et changeait les coups de bâton en caresses ! Il allait l’ouvrir, y baigner ses mains réjouir ses yeux, réchauffer son vieux cœur !...

Voyez, voyez l’avare : il lorgne le sac avec amour ; il le regarde en soupirant ; sa poitrine est oppressée ; son attente est pleine d’anxiété ; c’est l’angoisse… Combien y-a-t-il dans le sac ? Combien d’écus d’argent ? Combien d’écus d’or ?... Bientôt il le saisit, il le caresse, il rompt la ficelle qui le ferme, et le contenu roule sur le plancher… Le contenu… est-ce de l’or ?...

— Non… — Est-ce au moins de l’argent ?... — Non… Ah ! tu peux te pendre, Grégoire, car ce sont, oui, affreux grigou, ce sont des sous, de vilains gros sous, tout couverts de poussière et de vert-de-gris…

Jacqueline, qui rentrait en tirant des bords, selon sa coutume, entendit la chute d’un corps pesant sur le plancher. Elle monta, non sans peine, son bâton à la main, et toute prête à fustiger le délinquant. C’était inutile désormais, car elle trouva le squelette défunt sur le tas de gros sous.

Ainsi finit l’histoire des Deux Souhaits : le bon et le mauvais ; celui du pauvre Fiacre et celui de Grégoire le ladre. Point n’est nécessaire d’en déduire la morale ; elle est rude, mais assez claire sans doute, et à l’usage de tous ceux qui mettent les calculs de la fortune menteuse au-dessus des préoccupations du devoir austère et certain.

—  DU LAURENS DE LA BARRE, Ernest, Nouveaux fantômes bretons, Paris, 1881. —

Une version contemporaine

Le conteur Patrick Lebrun, originaire de Saint-Malon-sur-Mel (Ille-et-Vilaine), avait intégré ce conte à son répertoire. Il en a donné une première version dans sa rubrique du Ploërmelais, Contes populaires de Brocéliande sous le titre Les deux souhaits de Barenton . —  LEBRUN, Patrick, « Les deux souhaits de Barenton », Le Ploërmelais, Vendredi 18 septembre, Ploërmel, 1987, p. 16-19, Voir en ligne. — Il a aussi publié cette adaptation en 1993, illustrée par Hélène Roinel, sous le titre Les deux souhaits. —  ROINEL, Hélène, CALINDRE, Henri, HÉDÉ, Arsène, [et al.], Contes et Histoires du Pays Gallo, Le Ploërmelais, 1993. [pages 95-98] —

La Fontaine de Barenton ou les Deux Souhaits
—  ROINEL, Hélène, CALINDRE, Henri, HÉDÉ, Arsène, [et al.], Contes et Histoires du Pays Gallo, Le Ploërmelais, 1993.
[ pages 95-98] —

Les deux souhaits a enfin été l’objet d’une adaptation par Jacky Ealet en 2015. —  EALET, Jacky et LARCHER, Guy, Paimpont en Brocéliande, Beignon, Les oiseaux de papier, 2015. [pages 309-310] —


Bibliographie

DU LAURENS DE LA BARRE, Ernest, « La fontaine de Barenton, légende bretonne », Revue de Bretagne et de Vendée, Vol. 41, 1877, p. 32-39, Voir en ligne.

DU LAURENS DE LA BARRE, Ernest, Fantômes bretons, Paris, C. Dillet, 1879, Voir en ligne.

EALET, Jacky et LARCHER, Guy, Paimpont en Brocéliande, Beignon, Les oiseaux de papier, 2015.

LEBRUN, Patrick, « Les deux souhaits de Barenton », Le Ploërmelais, Vendredi 18 septembre, Ploërmel, 1987, p. 16-19, Voir en ligne.

LEBRUN, Patrick, « Les deux souhaits de Barenton », in Contes et Histoires du Pays Gallo, Le Ploërmelais, 1993, Voir en ligne.

ROINEL, Hélène, CALINDRE, Henri, HÉDÉ, Arsène, [et al.], Contes et Histoires du Pays Gallo, Le Ploërmelais, 1993.