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Le prieuré Saint-Malo-des-Bois en Broons

Un prieuré dépendant de l’abbaye de Paimpont

Saint-Malo-des-Bois ou Saint-Maleu est une chapelle de la paroisse de Broons (Côtes-d’Armor) attestée à partir de 1452 dans l’évêché de Saint-Malo. Le plus ancien document la mentionnant en tant que prieuré dépendant de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont date de 1679.

Un prieuré de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont

Une fondation par les seigneurs de Broons

Selon le marquis de Bellevüe (1854-1929), Saint-Malo-des-Bois est un prieuré de l’abbaye de Paimpont depuis sa fondation par les seigneurs de Broons 1.

Saint-Malo-des-Bois en Broons — Ce prieuré fut fondé par les sires de Broons en faveur de l’abbaye de Paimpont. La Réformation de 1452 en Broons porte : « Un métayer à Saint-Malo-du-Bois, fondation des seigneurs de Broons ».

BELLEVÜE, Xavier de, Paimpont, Rééd. 1994, Rennes, La Découvrance, 1913. [page 102]

Si la Réformation de 1452 prouve la fondation de Saint-Malo-des-Bois par les seigneurs de Broons, les preuves de sa dépendance à l’abbaye de Paimpont ne sont en revanche pas explicites dans l’ouvrage de Xavier de Bellevüe.

La Réformation du Domaine Royal de Ploërmel de 1679

La plus ancienne attestation de Saint-Malo-des-Bois en tant que dépendance de l’abbaye de Paimpont date de 1679.

Elle provient de la Réformation du Domaine Royal de Ploërmel lors de laquelle Messire François Robert, abbé de Paimpont, déclare le prieuré de Saint-Malo des Bois en Broons dans les bénéfices dépendant de la dite abbaye. — Bellevüe, Xavier de (rééd. 1994) op. cit. p. 73 —

François Cadoux, prieur de Saint-Malo-des-Bois

Deux historiens contemporains mentionnent François Cadoux, génovéfain de l’abbaye de Paimpont, en tant que prieur de Saint-Malo-des-Bois à la fin du 18e siècle.

  • Nicolas Petit indique qu’il est titulaire de 1775 à 1779 du prieuré simple de Saint-Malo-des-Bois en Broons.—  PETIT, Nicolas, Prosopographie génovéfaine, École Nationale des Chartes, 2008, Voir en ligne. [ page 81]  —
  • Yves Breton donne des précisions sur l’affermage de ce prieuré par François Cadoux.

    En ce qui concerne les petits prieurés de campagnes, leur temporel est pratiquement toujours affermé et l’on récupère sur le preneur le prix de la desserte de la chapelle. Ainsi le prieuré simple de Saint-Malo des Bois sur la paroisse de Broons dont est investi François Cadoux est-il loué 250 livres par an plus 31 livres quatre sols pour les messes de la chapelle 2. Le preneur n’est autre que le recteur de la paroisse voisine de Plumaugat.

    BRETON, Yves, Les génovéfains en Haute-Bretagne, en Anjou et dans le Maine aux XVIIe et XVIIIe siècles, Editions Hérault, 2006. [page 200]

1791 — La vente de Saint-Malo-des-Bois

Le 11 avril 1791, la métairie de Saint-Malo-des-Bois, vendue comme bien national, est acquise par Guy-Pierre Duval, trésorier du district de Broons, pour 8 375 livres. —  LEMASSON, Auguste, Les paroisses et le clergé du diocèse actuel de Saint-Brieuc de 1789 à 1815, Imprimerie Oberthur, 1926. —

Saint-Maleu sur le cadastre napoléonien de Broons de 1836
ADCA

En 1928, la chapelle est mentionnée détruite.—  COUFFON, R., « Répertoire des Eglises et Chapelles du Diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier », Bulletins et mémoires de la Société d’émulation des Côtes-du-Nord, 1938, p. 1-210, Voir en ligne.p. 60 —

Saint-Maleu en Broons
René Barrat

Confusions sur la fondation de Saint-Malo-des-Bois

La fondation en 1252 d’une chapelle hospitalière bénéficiant des dîmes de la paroisse de Broons et placée sous le vocable de Saint-Malo a amené certains auteurs à considérer qu’il s’agissait de celle de Saint-Malo-des-Bois 3.

Pourtant, l’examen des documents des 13e et 14e siècles relatifs à une chapelle hospitalière à Broons permettent d’écarter cette hypothèse.

1231-1252 — Le conflit sur les dîmes de Broons

Entre 1231 et 1252, les dîmes de la paroisse de Broons sont disputées par l’évêque de Saint-Malo Geoffroi de Ponthual et son chapitre à Hamon de Querhiriac, puis à Hamon de Guer, qui en revendiquent la propriété.

GEOFFROI Evêque de S. Malo transigea l’an 1231. avec Hamon de Guer pour les dixmes de la Paroisse de Broon.

MORICE, Dom Pierre-Hyacinthe, Mémoires pour servir de preuves à l’histoire ecclésiastique et civile de Bretagne., Vol. 2, Paris, Charles Osmont, 1744, Voir en ligne. p. XLVI

Selon Dom Morice, B. abbé de Notre-Dame de Beaulieu en Mégrit (Côtes d’Armor), est l’un des magistrats nommés par le Pape, afin d’arbitrer le différend entre les deux partis.

B. [...] fut un des Commissaires nommé par le Pape l’an 1231. pour juger le différend que Pierre Evêque de S. Malo & fon Chapitre avoient avec Hamon de Querhiriac pour les dixmes de Broon.

MORICE, Dom Pierre-Hyacinthe, Histoire ecclésiastique et civile de Bretagne, Vol. 2, Paris, Delaguette, 1756, Voir en ligne.p. 132

Un second commissaire - Rivald, abbé de Saint-Jacut- est mentionné par Ogée.

Rivald fut juge d’un différent entre l’évêque de Saint-Malo et ses chanoines d’une part, et, de l’autre, Hamon de Querhiriac, qui leur disputait les dimes de Broons.

OGÉE, Jean-Baptiste, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, dédié à la nation bretonne : M-Z, Vol. 2, Réédition par A. Marteville et P. Varin, 1853, Rennes, Deniel, succ. Molliex Libraire-Editeur, 1780, Voir en ligne. p.755

Finalement un accord est trouvé entre l’évêque et Hamon de Guer, seigneur de Broons et successeur dudit Querhiriac. Les dîmes de la paroisse de Broons sont attribuées à une chapelle hospitalière de Saint-Malo, fondée en 1252 par Geoffroy 4.

A tous, Geoffrey [Geoffroy de Pontual, évêque de Saint-Malo], ministre de l’Église de Saint-Malo par permission divine, en considération de ceux qui sont souvent sans ressources et faibles dans la ville de Saint-Malo gagnée par la pauvreté, j’ai proposé de fonder dans cette ville une maison de Dieu, et avec l’assentiment du chapitre… une place a été attribuée pour cela entre la maison Samson et l’église de Saint-Thomas [Thomas Becket de Cantorbery], afin que cette église puisse affecter la maison à cet usage. Je donne en pure aumône, par égard pour que les pauvres, les faibles et ceux qui viennent d’ailleurs soient rétablis, que les femmes alitées puissent être relevées de l’accouchement, et que les besoins de ceux qui languissent soient servis, les dîmes que j’ai reçues par accord de Hamon de Quehiriac, de lui-même et des possessions du défunt Raoul, son père, dans la paroisse de Broon, ajoutées au dixième de fief du soldat défunt Gauthier de Broon. En ce qui concerne tout ce qui est précité, je transfère tous mes droits à Thomas Ribliguene, citoyen de Saint-Malo, au nom de ladite maison de Dieu, que j’établis comme pourvoyeur actuel ; ajoutant ceci, que ni le chapelain, ni aucun autre de n’importe quel endroit, ne doit être admis dans le collège du même hôpital sans l’accord supérieur de l’évêque et du chapitre de Saint-Malo. Mais l’évêque et le chapitre y établiront un chanoine, comme cela se fait d’habitude dans d’autres églises, selon la volonté des mêmes qui seront tenus d’y célébrer la messe chaque jour à l’heure fixée. Et pour l’alimentation du chanoine desservant, le chapitre prélèvera 5 mines de froment et d’avoine au milieu de chaque année aux foires de Dinan, sur les biens de l’hôpital, jusqu’au moment où les dîmes de Broon seront dévolues à l’hôpital, au même endroit, après la mort de Maître Guillaume de Alteno qui a un droit sur leurs revenus ; et dès lors le chapitre prélèvera sur les biens de l’hôpital dix mines de froment et d’avoine, seulement pour l’alimentation du chanoine, préalablement dit au milieu de chaque année, dans le terme susdit. Toutefois le chanoine rapportant la quatrième partie des autres revenus de ceux qui apportent ou contribuent, à l’exception des céréales du Seigneur Hamon, recevra des chaussures et des vêtements. D’autre part, le chanoine qui sera là pour un temps, dans son œuvre de bienfaisance, jurera à l’évêque, dont il acceptera le soin des miséreux, sa fidélité à préserver le produit des pauvres, et qu’il sera capable de tenir son serment à l’Eglise ; et il rendra compte en personne du résultat de ses obligations quatre fois par an, à l’évêque ou son représentant, au prieur du lieu, et aux deux bourgeois désignés pour cela. Fait en l’an du Seigneur 1252 au mois d’octobre, et avec tout le respect dû à frère Pierre Turon, nous avons sollicité l’archevêque de confirmer ce qui a été fait.
Titre de l’Eglise de S. Malo. 5

MORICE, Dom Pierre-Hyacinthe, Mémoires pour servir de preuves à l’histoire ecclésiastique et civile de Bretagne, Vol. 1, Paris, Charles Osmont, 1742, Voir en ligne.p. 951-952

Une chapellenie hospitalière à Broons

La chapellenie hospitalière de Bron est mentionnée dans les établissements religieux concernés par les mesures fiscales exercées par les papes d’Avignon à l’époque du Grand Schisme d’Occident (1378 - 1417). Elle est détenue par Jean Gournon et a pour desservant Johannes Rocherel.

Chapellenie hospitalière de Bron, que détient Olivier Boniver ; voir ci-dessous, en fin de feuillet ; que détient Guillaume de la Woedre, est quasiment sans valeur.
Chapellenie que Jean Rocherel, prêtre, obtint [comme desservant], et maintenant R. Ferron.
Chapellenie que détient Thomas Jean.
Chapellenie que détient ledit Gournon.

[Commentaire :]

Il nous est légitimement établi que tous et chacun des bénéfices de cette chapellenie, que détient dans l’Église de Saint-Malo Jean Gournon, ne valent pas 10 livres, et ne possède pas d’autres allocations ; par conséquent rien n’est imposé avant les bénéfices de l’année. Ceci a été fait près de Dinan, en l’an 1405, le 19 mars, en présence des témoins, Maître Guillaume Duhoux, sous-collecteur apostolique de Saint-Malo, plusieurs autres, et moi, Jean Carpen 6.

LESQUEN, Gilles de et MOLLAT, G., « Mesures fiscales exercées en Bretagne par les papes d’Avignon à l’époque du Grand Schisme d’Occident (suite). », Annales de Bretagne, Vol. 18 / 4, 1902, p. 565-595, Voir en ligne. [page 587]

Le nom de cette chapellenie hospitalière de la fin du 13e ou du début du 14e n’est pas mentionné.

Pourtant, Étienne Le Giemble - dans un livre sur Broons et les Broonais publié en 1945 - écrit que cette chapelle hospitalière est la chapelle de Saint-Maleu ou Saint-Malo-des-Bois.

Annexé à la chapelle de Saint-Maleu se trouvait un hôpital. Le revenu de la chapelle ne valait pas dix livres, nous dit un texte latin : « Capellania hospitalis de Bron, quam obtinuit Jôhes Jôhis Rocherel et modo R. Ferron.. . Nobis constitit légitime quod omnes et singuli fructus " istius " capellaniae (cette « faillie chapellenie ») non valent decemtibras ».

LE GIEMBLE, Etienne, Broons et les Broonais, 1945, Le livre d’Histoire, 2004, 146 p., (« Monographie des villes et villages de France »).

Il ne peut s’agir de la chapelle Saint-Malo, mais plutôt de la léproserie dite de la chapelle de la Madeleine de Broons, seule chapelle hospitalière attestée à Broons à cette époque 7. —  SOURNIA, J.-C. et TRÉVIEN, M., « Essai d’inventaire des léproseries en Bretagne », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, Vol. 75 / 2, 1968, p. 317-343, Voir en ligne. [page 328] —

La chapelle de la Madeleine dans le cimetière de Broons
René Barrat

Conclusion

Il ressort de l’étude des preuves historiques relatives aux chapelles de Broons que les documents qui ont été utilisés pour attester de la fondation ou de l’existence de Saint-Malo-des-Bois concernent en réalité la chapelle hospitalière de Saint-Malo ou la chapelle hospitalière de la Madeleine en Broons.

Par ailleurs, aucun de ces documents n’établit que la chapelle Saint-Malo-des-Bois ait été hospitalière.

Desservants et prieurs de Saint-Malo-des-Bois

Liste des desservants au 17e siècle

Le nom de treize desservants de la chapelle au 17e siècle nous est connu par les registres des baptêmes, mariages et enterrements de Broons. Huit d’entre eux portent le titre de « Dom », titre honorifique donné à certains ecclésiastiques, parmi lesquels les chanoines réguliers de Saint-Augustin, présents à l’abbaye de Paimpont jusqu’en 1649. —  POUDOUVRE, « A travers la campagne de Broons », poudouvre.over-blog.com, 2012, Voir en ligne. —

  • Dom Jean Labbé cité en 1601
  • Dom Yves Briand cité en 1601
  • Dom Thomas Rathier cité en 1602
  • Dom Regnault Jan cité en 1605
  • Dom Jullien Richard, cité en 1605
  • Dom Jan Ollivier cité en 1607
  • Missire Guillaume Daguenel cité en 1608
  • Missire Pierre Leblanc cité en 1608
  • Missire Gilles Leblanc, cité dans le premier quart du 17e siècle, ce desservant, fut manifestement le desservant attitré de la chapelle de Saint-Malo-des-Bois.
  • Missire Jan Mégret, cité en 1609
  • Dom Jan Labé, cité en 1615
  • Dom Gilles Oréal, cité en 1641
  • Missire Michel Henry cité en 1684

Prieurs

  • François Cadoux, prieur titulaire de 1775 à 1779 —  PETIT, Nicolas, Prosopographie génovéfaine, École Nationale des Chartes, 2008, Voir en ligne. [ page 81]  —

Bibliographie

ANONYME, « Recueil d’extraits de divers chartriers de Bretagne : Manuscrit Bibl. nat., fr. 22325 », Rennes, 1601, Voir en ligne.

BELLEVÜE, Xavier de, Paimpont, la forêt druidique, la forêt enchantée et les romans de la table ronde, Rennes, Simon, 1903.

BRETON, Yves, Les génovéfains en Haute-Bretagne, en Anjou et dans le Maine aux XVIIe et XVIIIe siècles, Editions Hérault, 2006.

COUFFON, R., « Répertoire des Eglises et Chapelles du Diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier », Bulletins et mémoires de la Société d’émulation des Côtes-du-Nord, 1938, p. 1-210, Voir en ligne.

GUILLOTIN DE CORSON, abbé Amédée, Pouillé Historique de l’archevêché de Rennes, Vol. 2, Rennes, Fougeray éditeur, 1891, Voir en ligne.

LE GIEMBLE, Etienne, Broons et les Broonais, 1945, Le livre d’Histoire, 2004, 146 p., (« Monographie des villes et villages de France »).

LESQUEN, Gilles de et MOLLAT, G., « Mesures fiscales exercées en Bretagne par les papes d’Avignon à l’époque du Grand Schisme d’Occident (suite). », Annales de Bretagne, Vol. 18 / 4, 1902, p. 565-595, Voir en ligne.

LEMASSON, Auguste, Les paroisses et le clergé du diocèse actuel de Saint-Brieuc de 1789 à 1815, Imprimerie Oberthur, 1926.

MORICE, Dom Pierre-Hyacinthe, Mémoires pour servir de preuves à l’histoire ecclésiastique et civile de Bretagne, Vol. 1, Paris, Charles Osmont, 1742, Voir en ligne.

MORICE, Dom Pierre-Hyacinthe, Histoire ecclésiastique et civile de Bretagne, Vol. 2, Paris, Delaguette, 1756, Voir en ligne.

OGÉE, Jean-Baptiste, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, dédié à la nation bretonne : M-Z, Vol. 2, Réédition par A. Marteville et P. Varin, 1853, Rennes, Deniel, succ. Molliex Libraire-Editeur, 1780, Voir en ligne.

PETIT, Nicolas, Prosopographie génovéfaine, École Nationale des Chartes, 2008, Voir en ligne.

POUDOUVRE, « A travers la campagne de Broons », poudouvre.over-blog.com, 2012, Voir en ligne.

SOURNIA, J.-C. et TRÉVIEN, M., « Essai d’inventaire des léproseries en Bretagne », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, Vol. 75 / 2, 1968, p. 317-343, Voir en ligne.


↑ 1 • Guillotin de Corson mentionne le prieuré de l’abbaye de Paimpont sans citer aucun document attestant de sa dépendance. Le prieuré de Saint-Malo-des-Bois — En la paroisse de Broons, évêché de Saint-Malo. (nunc évêché de Saint-Brieuc)—  GUILLOTIN DE CORSON, abbé Amédée, Pouillé Historique de l’archevêché de Rennes, Vol. 2, Rennes, Fougeray éditeur, 1891, Voir en ligne. p. 742 —

↑ 2 • Cette location de la chapelle par François Cadoux entre 1775 et 1779 interroge sur l’affirmation d’Auguste Lemasson selon laquelle La chapelle de Saint-Malo-des-Bois - comme celle de Lhermitage en Broons - est interdite en 1728.—  LEMASSON, Auguste, Les paroisses et le clergé du diocèse actuel de Saint-Brieuc de 1789 à 1815, Imprimerie Oberthur, 1926. —

↑ 3 • La confusion entre la fondation de la chapelle hospitalière de Saint-Malo et celle de Saint-Malo-des-Bois est mentionnée dans —  POUDOUVRE, « A travers la campagne de Broons », poudouvre.over-blog.com, 2012, Voir en ligne. —

↑ 4 • Cet accord est aussi mentionné par Ogée.—  OGÉE, Jean-Baptiste, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, dédié à la nation bretonne : M-Z, Vol. 2, Réédition par A. Marteville et P. Varin, 1853, Rennes, Deniel, succ. Molliex Libraire-Editeur, 1780, Voir en ligne. p.787 —

↑ 5 • Traduction du texte latin de Dom Morice par l’Encyclopédie de Brocéliande.

↑ 6 • Traduction du texte latin sur les dîmes de la chapellenie hospitalière de Bron par l’Encyclopédie de Brocéliande.

↑ 7 • La chapelle de la Madeleine (14e-17e siècle) est située près du cimetière de Broons. Sa fondation est attribuée par la tradition à Jeanne Malemains, mère de Du Guesclin. En 1566, François Chaveau est mentionné comme chapelain de cette chapelle.—  LE GIEMBLE, Etienne, Broons et les Broonais, 1945, Le livre d’Histoire, 2004, 146 p., (« Monographie des villes et villages de France »). —