aller au contenu

Évènements

Trier par titre Trier par date de publication

Les émeutes du château du Bois-de-la-Roche

Du 19 janvier au 5 février 1790, la grande majorité des paroisses situées entre Ploërmel, Montfort et Redon se révoltent contre leurs seigneurs. Six mois après les doléances exprimées dans les cahiers de chaque paroisse, les paysans passent aux actes, excédés par la persistance des droits féodaux.
Au matin du 5 février, des soldats en armes attendent les paysans venus en nombre au Bois-de-la-Roche et tirent sur la foule, tuant six paysans. Cette répression sanglante marque la conclusion de deux (...)

Les révoltes agraires de 1790

Du 18 janvier au 5 février 1790, la grande majorité des paroisses situées entre Ploërmel, Montfort et Redon, entrent en insurrection. Les communautés paysannes qui avaient demandé l’abolition des droits féodaux dans les cahiers de doléances rédigés en avril 1789 se révoltent contre leurs seigneurs, leur réclamant le renoncement aux droits féodaux.

L’incendie du Château de Comper

Le 27 janvier 1790, au cours des révoltes agraires qui agitent la région, une troupe d’environ quatre-cents hommes se rend au château de Comper en Concoret pour réclamer une renonciation écrite du seigneur à ses droits féodaux. Par ailleurs, après avoir obtenu les titres de la seigneurie, les émeutiers les brûlent dans la cour, puis se livrent au pillage et mettent le feu au château. L’incendie est éteint le 29 janvier par les habitants de Concoret.

Les émeutes de Plélan-le Grand

À partir du 18 janvier 1790, des révoltes agraires naissent dans les paroisses de Guer, d’Augan et de Maure. Elles se propagent à la paroisse de Plélan du 24 au 28 janvier puis atteignent les paroisses de Paimpont, de Concoret et d’Iffendic.
Du 18 janvier au 5 février 1790, la grande majorité des paroisses situées entre Ploërmel, Montfort et Redon, entrent en insurrection. Les communautés paysannes qui avaient demandé l’abolition des droits féodaux dans les cahiers de doléances rédigés en avril 1789 (...)

Les émeutes de Monterfil, Iffendic et Saint-Maugan

À partir du 18 janvier 1790, des révoltes agraires naissent dans les paroisses de Guer, d’Augan et de Maure. Elles se propagent à la paroisse de Plélan du 24 au 28 janvier. Du 29 janvier au 4 février 1790, au cours de ces évènements qui agitent la paroisse d’Iffendic, les châteaux de la Châsse, de Bassardaine, de Vauferrier, de Tréguil et de Bléruais sont attaqués et pillés.

L’attentat de la rue Saint-Nicaise

Robinault de Saint-Régent, chef chouan de la division de Saint-Méen, se trouve au centre du complot visant à l’assassinat du Premier consul Napoléon Bonaparte. L’attentat de la rue Saint-Nicaise n’atteint pas son objectif mais provoque la mort de nombreuses personnes. Le 16 germinal an IX (6 avril 1801), Saint-Régent est condamné à mort. Il est guillotiné en place de Grève le premier floréal an IX (21 avril 1801).

Le camp du Thélin

Durant l’été 1843, un camp militaire s’établit au Thélin en Plélan-le-Grand, sous les ordres du général de Rumigny. Ce camp d’instruction de l’armée française, basé dans la vallée de l’Aff, accueille plus de huit mille soldats. Il reçoit de nombreux visiteurs et notamment le duc de Nemours, alors hébergé au château de Saint-Malo-de-Beignon.