Le prieuré Saint-Barthélemy de Brignac
Saint-Barthélemy de Brignac est un prieuré-cure de l’abbaye de Notre-Dame de Paimpont érigé en commune en 1790.
Communauté religieuse dépendant généralement d’une abbaye et dirigée par un prieur, une prieure. S’il s’agit d’un prieuré indépendant, son supérieur est un prieur conventuel.
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Saint-Barthélemy de Brignac est un prieuré-cure de l’abbaye de Notre-Dame de Paimpont érigé en commune en 1790.
Saint-Barthélemy-des-Bois, situé au lieu-dit le Cannée en Paimpont, était un prieuré dépendant de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont.
Saint-Barthélemy-du-Bois en Guilliers était un prieuré dépendant de l’abbaye Notre-Dame-de-Paimpont.
Le prieuré Saint-Étienne de Guer dépendait de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont. La première mention de Saint-Étienne en tant que prieuré apparaît en 1498. Le prieuré et ses dépendances sont vendus comme bien national en 1791.
Le Prieuré Saint-Laurent-de-Coëtlan en Campénéac était une annexe du prieuré Saint-Barthélemy-du-Bois en Guilliers, dépendant de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont.
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La Vierge de Saint-Étienne est une légende publiée par François Cadic en 1919. Elle raconte l’origine miraculeuse du pèlerinage de la Vierge de Saint-Étienne de Guer.
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La chapelle et les terres de Saint-Ahan en Iffendic on été données par Raoul II de Gaël-Montfort en 1124 aux bénédictines de Saint-Samson de Telhouët. La chapelle qui a pris le nom de Saint-Jehan au 18e siècle est en ruine depuis la fin du 19e siécle.
La chapelle Saint-Étienne de Guer, datée de la fin du 10e ou du début du 11e siècle, n’est mentionnée pour la première fois qu’en 1408. Elle est qualifiée de prieuré dépendant de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont à partir de 1498. Agrandie au 17e siècle, délaissée au 18e siècle, elle est vendue comme bien national en 1791 et utilisée comme grange au cours du 19e siècle. Depuis 1971, elle est classée monument historique et accessible aux visiteurs.
La métairie Saint-Jean de l’Ermitage en Campénéac est mentionnée pour la première fois en 1467 en tant que dépendance de l’abbaye Saint-Jacques de Montfort. La métairie et sa chapelle sont aliénées aux seigneurs de Trécesson en 1568. Reconstruite au 17e siècle, la chapelle est achetée par Nicolas Bourelle de Sivry en 1793. Classée monument historique en 1946, la chapelle et son ancienne métairie sont aujourd’hui une propriété privée interdite à la visite.