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Légendes et croyances populaires

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La cane de Montfort dans les traditions populaires

Du 15e siècle à la Révolution, le clergé a gardé le contrôle sur la légende de la cane de Montfort, imposant sa vision aux nombreux auteurs qui s’y sont intéressés. Au début du 19e siècle, l’écrit se libère de l’emprise cléricale et de nouveaux éléments apparaissent, émanant de sources populaires : chansons, croyances, versions différentes de la légende...

La Mariée de Trécesson

La légende de la Mariée de Trécesson a été l’objet de nombreuses publications. Dès la première parution en 1824, elle apparait comme inspirée d’une histoire locale véridique. Progressivement incorporée aux traditions de la forêt de Paimpont, cette légende sans lien avec l’imaginaire arthurien a inspiré un culte des reliques ainsi que la croyance en une Dame blanche hantant les abords du château.

La merveilleuse dame de Trécesson

La merveilleuse dame de Trécesson est un conte de Loeiz Herrieu (1879-1952) extrait d’un recueil de contes et d’histoires pour la veillée de Noël intitulé De hortoz kreisnoz (En attendant minuit). Dans cet ouvrage écrit en breton vannetais, paru en 1942, l’auteur partage les illustrations avec Xavier De Langlais, Xavier Haas et Raoul Perrin.

Le Chêne à Guillotin

Cet arbre remarquable, plusieurs fois centenaire, fut d’abord appelé « Chêne des Rues Éon » au 19e siècle avant de devenir « Chêne à Guillotin » dans les années 1970, du nom d’un prêtre réfractaire réfugié à Concoret pendant la Terreur. Ce chêne est situé aux Rues Éon en Concoret, à une centaine de mètres du château du Rox.