Les bois et landes de Beignon
Du 16e à la fin du 18e siècle, les bois de Feil et de Tenedo, de la baronnie de Beignon, font l’objet de conflits entre l’évêque de Saint-Malo et ses vassaux de Beignon.
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Du 16e à la fin du 18e siècle, les bois de Feil et de Tenedo, de la baronnie de Beignon, font l’objet de conflits entre l’évêque de Saint-Malo et ses vassaux de Beignon.
L’extension des landes à l’intérieur du massif forestier de Paimpont est consécutive à l’établissement de forges industrielles à partir du milieu du 17e siècle. Durant deux siècles, c’est sur ces vastes étendues non rentables pour les maitres des forges, que se concentrent les derniers usages forestiers.
Au début du 19e siècle, de nouvelles méthodes sylvicoles de rentabilisation des landes remettent en cause ces derniers droits d’usages. Les plantations de pins maritimes se multiplient en forêt de Paimpont permettant aux propriétaires de définitivement exclure les usagers de la grande propriété forestière.
Entre 1888 et 1902, Donatien Levesque, propriétaire du Domaine de Paimpont développe un élevage de truites et de saumons aux Forges de Paimpont.
Avant la Seconde Guerre mondiale, pendant plus d’un siècle, les comices agricoles, par la confrontation entre tradition et modernité, révèlent l’existence d’un terroir. Ils sont les prémices du syndicalisme agricole.
En 1846, Louis-Philippe cherche à acquérir la forêt de Paimpont. Ce projet s’inscrit dans une stratégie visant à contrer ses opposants légitimistes en Bretagne.
En 1973, Victor Renouard éteint sa dernière fouée sur la « côte de Beauvais », mettant un point final à 2 500 ans de pratique du charbonnage en forêt de Paimpont. A partir de 1978, quelques fouées sont cependant montées à l’occasion de fêtes, suscitant expositions et ouvrages.
De 1833 à 1837, L’Institut agricole de Coëtbo à Guer (Morbihan) accueille une centaine d’élèves apprentis. Hippolyte de Béchènec puis M. Doncker, directeurs successifs de l’établissement, y œuvrent à l’enseignement des futurs agronomes ainsi qu’à la modernisation de l’agriculture française.
Le réseau ferroviaire se développe en Bretagne au cours de la seconde moitié du 19e siècle. Les lignes principales nord et sud sont complétées par des lignes transversales destinées à desservir la Bretagne intérieure. La ligne Ploërmel - La Brohinière ouvre le 6 avril 1884. Fermée au « service voyageurs » le 6 mars 1972, elle est complètement déclassée en 1994. Elle dispose d’un important patrimoine ferroviaire, encore largement conservé : gares, maisons de garde-barrière, passages à niveau.
Le réseau ferroviaire se développe en Bretagne au cours de la seconde moitié du 19e siècle. Les lignes principales nord et sud sont complétées par des lignes transversales destinées à desservir la Bretagne intérieure. C’est le cas de la ligne Ploërmel - La Brohinière ouverte le 6 avril 1884, qui à cette époque, a une importance économique pour la partie ouest du massif de Brocéliande. Le 6 mars 1972, la ligne est fermée au service voyageurs.
Au cours de la seconde moitié du 19e siècle, le réseau ferroviaire se développe en Bretagne. Les lignes principales nord et sud sont complétées par des lignes transversales destinées à desservir la Bretagne intérieure. La région de Brocéliande bénéficie de ce réseau, surtout dans sa partie ouest : cinq lignes d’intérêt général et quatre lignes d’intérêt local.