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De 1833 à 1837, L’Institut agricole de Coëtbo à Guer (Morbihan) accueille une centaine d’élèves apprentis. Hippolyte de Béchènec puis M. Doncker, directeurs successifs de l’établissement, y œuvrent à l’enseignement des futurs agronomes ainsi qu’à la modernisation de l’agriculture française.
Le réseau ferroviaire se développe en Bretagne au cours de la seconde moitié du 19e siècle. Les lignes principales nord et sud sont complétées par des lignes transversales destinées à desservir la Bretagne intérieure. La ligne Ploërmel - La Brohinière ouvre le 6 avril 1884. Fermée au « service voyageurs » le 6 mars 1972, elle est complètement déclassée en 1994. Elle dispose d’un important patrimoine ferroviaire, encore largement conservé : gares, maisons de garde-barrière, passages à niveau.
Le réseau ferroviaire se développe en Bretagne au cours de la seconde moitié du 19e siècle. Les lignes principales nord et sud sont complétées par des lignes transversales destinées à desservir la Bretagne intérieure. C’est le cas de la ligne Ploërmel - La Brohinière ouverte le 6 avril 1884, qui à cette époque, a une importance économique pour la partie ouest du massif de Brocéliande. Le 6 mars 1972, la ligne est fermée au service voyageurs.
Au cours de la seconde moitié du 19e siècle, le réseau ferroviaire se développe en Bretagne. Les lignes principales nord et sud sont complétées par des lignes transversales destinées à desservir la Bretagne intérieure. La région de Brocéliande bénéficie de ce réseau, surtout dans sa partie ouest : cinq lignes d’intérêt général et quatre lignes d’intérêt local.
En 1842, l’histoire des chemins de fer français commence avec la création d’un réseau ferroviaire en étoile centré sur Paris. Cependant, il faut attendre 1857 pour que le train arrive jusqu’à Rennes. Deux grandes lignes se développent au nord et au sud de la Bretagne, ignorant l’intérieur du territoire. À la fin du 19e siècle, des lignes secondaires d’intérêt local complètent le maillage de la péninsule.
Les charbonniers vivaient en famille dans des habitats rudimentaires en forêt appelés « loges ». Cartes postales, photographies et témoignages des derniers charbonniers de la forêt de Paimpont permettent de mieux connaitre leurs lieux de vie.
Philippe Guégan a exercé le métier de charbonnier en forêt de Paimpont jusqu’en 1946. Cet article propose une transcription d’un entretien entre Philippe Guégan et Guy Larcher, extrait du film documentaire de Jean-Pierre Le Bihan intitulé La fouée du charbonnier.
Victor Renouard a exercé le métier de charbonnier en forêt de Paimpont à partir de 1946. Dernier charbonnier de la forêt de Paimpont, il a poursuivi son activité jusqu’en 1973.
Le témoignage de Roger Guégan, charbonnier en forêt de Paimpont.
Éléments biographiques
Les parents de Roger, Jacques Guégan (né en 1895) et Marie Le Galliot (née en 1894) sont recensés à Paimpont en 1921 en tant que charbonniers. Reconnus à Camors (Morbihan) pour leurs compétences, ils sont recrutés, en compagnie d’autres camoriens et employés par le négociant Eugène Berson.
En 1920, le père des frères Guégan arrivait en forêt de Paimpont, attiré par une forêt plus grande et plus proche des grands (...)
Le témoignage de Célestine Maleuvre, charbonnière en forêt de Paimpont.