De Teleo à Telhouët
Telhouët est un lieudit de la commune de Paimpont attesté depuis 1124. La graphie du toponyme s’est stabilisée sous sa forme actuelle à partir du 14e siècle. Plusieurs interprétations sur l’étymologie de Telhouët sont proposées.
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Telhouët est un lieudit de la commune de Paimpont attesté depuis 1124. La graphie du toponyme s’est stabilisée sous sa forme actuelle à partir du 14e siècle. Plusieurs interprétations sur l’étymologie de Telhouët sont proposées.
Après avoir été ouvriers aux Forges de Paimpont, Louis et Eugène Poulain créent et dirigent de 1855 à 1882 un atelier de fabrication de machines agricoles installé à « La Forge d’Embas ». De 1882 à 1895, Eugène transfère cette activité à « La Secouette » en Paimpont.
Le 27 septembre 1925, une fête pour la canonisation de Judicaël est organisée à Paimpont à l’initiative de l’archevêque de Rennes, le cardinal Charost. Intervenant six mois après la victoire du Cartel des gauches aux élections législatives, cet évènement religieux est aussi une manifestation politique.
Depuis le 12e siècle, trois toponymes - Penpont, Painpont, Paimpont - sont utilisés pour désigner Paimpont. Leur évolution révèle l’histoire de Paimpont.
Après l’invasion de la Pologne par l’armée allemande en septembre 1939, le camp de Coëtquidan devient le centre principal de l’armée polonaise. De septembre 1939 à juin 1940, des dizaines de milliers de volontaires y affluent afin d’intégrer les unités en constitution. Les installations du camp sont rapidement saturées ; les compagnies en formation cantonnent alors dans les communes environnantes.
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Le Val aux Faux Amants ou « Val sans Retour » trouve son origine dans la littérature de la première moitié du 13e siècle. Au 19e siècle, les controverses sur sa localisation en forêt de Paimpont aboutissent à son implantation dans la vallée de Gurvant (ou de Rauco) près de Tréhorenteuc.
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Le battoué cassé est une chanson collectée par Adolphe Orain auprès de Marie Niobé, du village du Cannée en Paimpont.
Le grand loup du Bois est une chanson de patous des landes de Lambrun collectée par Adolphe Orain en forêt de Paimpont.
La fée aux trois dents est un conte collecté à Paimpont par Adolphe Orain.
La Princesse Yvonne est un conte collecté à Paimpont par Adolphe Orain.
Un conte d’Adolphe Orain
La Princesse Yvonne est publié pour la première fois en 1904. Adolphe Orain l’intègre à la première partie de son recueil, intitulée Cycle Mythologique : Les Fées, les Géants, les Magiciens, les Animaux parlants, les Métamorphoses, les Aventures merveilleuses. ORAIN, Adolphe, Contes du pays Gallo, Rennes, Honoré Champion, 1904, Voir en ligne. pp. 135-156
Adolphe Orain donne peu d’informations sur le (...)
La Bûche d’or est un conte collecté à Paimpont par Adolphe Orain en 1868.
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Le chêne à Dom Guillaume est un arbre exceptionnel disparu autrefois situé en forêt de Brécilien au nord du village de Beauvais en Paimpont.
La présence du loup en forêt de Paimpont au 19e siècle est attestée par de nombreux documents d’archives. La volonté institutionnelle de l’éradiquer, ainsi que la croissance démographique qui réduit son espace vital ne tardent pas à faire sentir leurs effets. Les loups encore nombreux vers 1800 ont disparu cent ans plus tard.
La plupart des lieux-dits du massif forestier de Paimpont associés au loup sont liés à des éléments marquants du paysage, carrefours forestiers, points d’eau, rochers, vallées, arbres, etc. Plus de cent ans après la disparition du loup, des habitants proches de ces lieux conservent des témoignages familiaux sur sa présence.
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L’allée couverte de l’Orgeril est un monument mégalithique ruiné situé sur la commune de Paimpont, dans le canton forestier de l’Orgeril. Elle a été découverte dans les années 80.
Le Moulin de la Vallée est situé à l’entrée du Val sans Retour, sur la commune de Paimpont, à proximité de Tréhorenteuc. Ses ruines demeurent encore en contrebas de la digue de l’étang du « Miroir au Fées », près de l’« Arbre d’or ». Ce moulin à eau, construit en 1629, a été abandonné dans les années 1930 après avoir moulu le seigle, l’avoine et le blé noir pendant près de trois siècles.
Il existe plusieurs statues dites « Notre-Dame de Paimpont ». La principale se trouve à l’église abbatiale de Paimpont. Les autres sont à la basilique Saint-Melaine de Rennes, à l’église de Saint-Pierre-et-Saint-Paul du Rheu et à Saint-Martin de Bazouges-sous-Hédé. Deux statues, aujourd’hui disparues, sont mentionnées à la chapelle Saint-Étienne de Guer et à l’église Toussaint de Rennes.
La chapelle Sainte-Anne, édifiée au 17e siècle dans l’ancien cimetière paroissial de Paimpont, a été démolie à la fin du 19e siècle.
Jusqu’à la Révolution, la population de la paroisse de Paimpont se répartissait dans six hameaux importants en bordure de forêt. Le bourg s’est développé dans l’enclos abbatial à partir du milieu du 19e siècle, le long de l’ancienne allée menant de l’hôtellerie du porche à l’abbaye.