Barleuf Vincent
Vincent Barleuf est un chanoine régulier qui fut prieur de Saint-Jacques de Montfort de 1647 à 1659. Dans le cadre de la réforme génovéfaine, il œuvre à de nombreuses réalisations architecturales, dont l’abbaye de Paimpont.
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Vincent Barleuf est un chanoine régulier qui fut prieur de Saint-Jacques de Montfort de 1647 à 1659. Dans le cadre de la réforme génovéfaine, il œuvre à de nombreuses réalisations architecturales, dont l’abbaye de Paimpont.
Le prieuré Saint-Samson de Telhouët a été doté de nombreuses terres par Raoul II de Gaël en 1124. Aux 16e, 17e et 18e siècles, la prieure possède des droits de haute, moyenne et basse justice, avec juridiction, en sept fiefs ou bailliages répartis sur les paroisses de Paimpont, Saint-Gonlay, Saint-Maugan, Iffendic, Montfort, Bédée, Irodouër, Concoret, Gaël, Montauban et Boisgervilly.
Geoffroy Ier est seigneur de Montfort et de Gaël de 1162 à 1181. Par son union avec Gervaise de Say, il est aussi possesseur de terres en Normandie. Après sa mort, son fils ainé et son puîné se partagent la seigneurie de Gaël et de Montfort.
En 1152, Guillaume Ier est sollicité par l’évêque de Saint-Malo, Jean de Châtillon, pour bâtir un monastère à Montfort (aujourd’hui Montfort-sur-Meu). Cette abbaye est dédiée à saint Jacques. Elle fait partie de la dizaine d’abbayes qui suivent la règle des chanoines réguliers, créées en Bretagne au 12e siècle.
Jean de Montfort, fils de Raoul VIII, héritier de la lignée des Gaël-Montfort, donne naissance à l’une des branches de la maison de Montfort-Laval par son mariage avec Anne de Laval en 1404.
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Félix Bellamy publie La forêt de Bréchéliant en 1896, œuvre monumentale consacrée à la littérature arthurienne et à son implantation en forêt de Paimpont. Constamment réédité depuis plus d’un siècle, son ouvrage demeure la référence sur la forêt de Paimpont-Brocéliande.
En 1824, Blanchard de la Musse introduit le légendaire de la Table Ronde en forêt de Paimpont où il localise un premier « Val sans Retour ».
Dans un épisode tiré de la Vita judicaelis, Judicäel, roi de Domnonée au 7e siècle, aide un lépreux à traverser une rivière en crue. Après avoir été déposé de l’autre côté de la rivière, ce dernier apparait au souverain breton sous la forme du Christ et lui promet la vie éternelle.
Le miracle de la cane de Montfort est attesté depuis la fin du 15e siècle par des procès-verbaux ainsi que par une importante bibliographie. L’examen de ces documents révèle une origine mythique derrière la christianisation de la légende par le clergé local.
Du 15e siècle à la Révolution, le clergé a gardé le contrôle sur la légende de la cane de Montfort, imposant sa vision aux nombreux auteurs qui s’y sont intéressés. Au début du 19e siècle, l’écrit se libère de l’emprise cléricale et de nouveaux éléments apparaissent, émanant de sources populaires : chansons, croyances, versions différentes de la légende...
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La Croix Robert est un conte publié par l’abbé Oresve en 1858, dans lequel un musicien est poursuivi par des loups dans le bois de Coulon près de Montfort-sur-Meu.
Tu ris, tu ris, bergère est une chanson collectée à Montfort par Adolphe Orain le 22 septembre 1869.
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L’if de la Croix-Huchard à Montfort-sur-Meu est classé dans la catégorie Bel arbre.
Le chêne au Vendeur était situé dans le bois de Coulon près de Montfort-sur-Meu. Cet arbre exceptionnel, associé à une légende, a été maintes fois mentionné avant d’être abattu en 1967.
Un cormier ou sorbier domestique (Sorbus domestica) de Montfort est répertorié en tant qu’Arbre remarquable. Le cormier du Lestou en Iffendic est quant à lui classé dans la catégorie Bel arbre.
La présence du loup en forêt de Paimpont au 19e siècle est attestée par de nombreux documents d’archives. La volonté institutionnelle de l’éradiquer, ainsi que la croissance démographique qui réduit son espace vital ne tardent pas à faire sentir leurs effets. Les loups encore nombreux vers 1800 ont disparu cent ans plus tard.
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Louis Boitte (1830-1906), grand prix de Rome en 1859 puis Architecte en chef du château de Fontainebleau à partir de 1877, est l’auteur de douze dessins réalisés à Montfort-sur-Meu durant l’été 1873.
L’église Saint-Nicolas de Montfort abritait plusieurs représentations du miracle de la cane. Cette légende était sculptée sur le maître-autel de l’église, représentée sur un vitrail du 16e siècle, sur une bannière et sur une statue de saint Nicolas du 18e siècle. Ces représentations nous sont connues par des descriptions partielles ou des dessins qui ont survécu à la destruction de l’église en 1798.
Le dolmen de La Prise, situé en lisière du bois de Montfort est mentionné deux fois dans les années 1850. Absent de tous les inventaires archéologiques des 19e et 20e siècle, il est redécouvert en 1992 sous un amas de broussailles.
1850-1858 — Premières mentions
**1850 — Paul de la Bigne de Villeneuve
En 1850, un érudit rennais, Paul de la Bigne de Villeneuve (1813-1899), évoque les restes présumés d’un dolmen, dont les pierres ont été déplacées. au lieu-dit La Prise en Monfort. BIGNE DE (...)
Le Grès Saint-Méen est un mégalithe situé dans le Bois de Montfort sur la commune de Talensac. Mentionné dès 1849, il est associé à une légende ainsi qu’à des traditions populaires relatives à la christianisation de la forêt de Brécilien par saint Méen au 6e siècle.
Le menhir de Coulon en Montfort est mentionné à partir de 1850. Mutilé au cours de la fin du 19e ou du début du 20e siècle, il est aujourd’hui pratiquement ruiné.