Le Docteur Vélo
Auguste Courtault (1855-1911), originaire de Plélan-le-Grand (Ille-et-Vilaine), est un pionnier du cyclisme plus connu sous le nom de « docteur Vélo ».
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Auguste Courtault (1855-1911), originaire de Plélan-le-Grand (Ille-et-Vilaine), est un pionnier du cyclisme plus connu sous le nom de « docteur Vélo ».
Alexis Presse, religieux breton et rénovateur de l’abbaye de Boquen, a participé à la Gorsedd Digor de 1951 à Tréhorenteuc.
À la fin du 11e siècle, Raoul de Gaël est seigneur de Gaël et de Montfort dans l’évêché d’Alet. La seigneurie couvre une quarantaine de paroisses. En 1066, Raoul rejoint Guillaume de Normandie lors de sa conquête de l’Angleterre. Après 1069, il reçoit les comtés d’Est-Anglie. En 1075, il se révolte contre le roi Guillaume le Conquérant. Il bâtit le château de Montfort (aujourd’hui Montfort-sur-Meu) dont il prend le nom. Il meurt avec son fils lors de la première croisade, entre 1097 et 1099.
Raoul l’Anglais, né d’une famille apparentée aux comtes de Rennes, passe sa jeunesse en Angleterre. Il a un fils, Raoul de Gaël, né en Bretagne. En 1042, il entre au service du roi d’Angleterre, Édouard le Confesseur près duquel il occupe un rang élevé. En 1066, il soutient activement Guillaume le Conquérant pendant la conquête de l’Angleterre et en récompense est nommé comte d’Est Anglie.
Vers 868, durant la période carolingienne, des moines du Poitou fuient les invasions vikings avec les reliques de saint Maixent pour rejoindre Plélan où sont déjà installés les moines de Redon. En 869, le monastère de Plélan prend le nom de monasterium Sancti Maccentii.
En 824, les moines restituent les reliques de saint Maixent au monastère du Poitou.
Au 11e siècle, le lieu de l’ancien monastère de Maixent devient une paroisse qui prend le nom de Maxent.
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Jean Côme Damien Poignand est l’inventeur du Tombeau de Merlin en Forêt de Paimpont en 1820. Cette « découverte archéologique » ouvre la voie à l’implantation du légendaire arthurien en forêt de Paimpont.
Félix Bellamy publie La forêt de Bréchéliant en 1896, œuvre monumentale consacrée à la littérature arthurienne et à son implantation en forêt de Paimpont. Constamment réédité depuis plus d’un siècle, son ouvrage demeure la référence sur la forêt de Paimpont-Brocéliande.
Baron du Taya est l’auteur de Brocéliande, ses chevaliers et quelques légendes, paru en 1839, première somme entièrement consacrée à la localisation de Brocéliande en forêt de Paimpont.
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Creuzé de Lesser connait la célébrité pour La Table ronde, une réécriture de la geste arthurienne parue en 1811. Cette œuvre littéraire a conduit Blanchard de la Musse à implanter le « Val sans Retour » en Forêt de Paimpont en 1824.
Louis-Antoine-François de Marchangy, auteur du Tristan voyageur publié en 1825, est l’un des acteurs de la localisation de Brocéliande en Bretagne au 19e siècle.
L’écrivain romantique François-René de Chateaubriand évoque dès 1812 une grande forêt couvrant le nord-est de la Bretagne en des temps reculés. Il est aussi l’auteur d’une localisation de Brocéliande à Bécherel qui n’a pas fait école.
En 1846, Julien Pélage Auguste Brizeux consacre deux poèmes à la Fontaine de Barenton, qui contribuent à la notoriété de celle-ci. Il devient ainsi l’initiateur de la redécouverte de cette fontaine au 19e siècle.
Geoffroy de Monmouth a véritablement donné ses lettres de noblesse et internationalisé la légende arthurienne qui appartenait au Pays de Galles. Il est le premier à mettre en scène deux héros, Arthur et Merlin, portés par la tradition orale. Avec lui, ces personnages archétypiques entrent dans l’histoire. Cette vision fausse va influencer les historiens français jusqu’au 19e siècle.
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Alfred Ramé (1826-1886) est un pionnier de l’histoire des arts médiévaux en Bretagne. Auteur d’une soixantaine d’articles dans des revues savantes régionales et nationales, il est venu à de nombreuses reprises en Brocéliande pour y étudier et y dessiner le patrimoine médiéval de ses églises et châteaux.