Guy XIII de Montfort-Laval
Jean de Montfort, fils de Raoul VIII, héritier de la lignée des Gaël-Montfort, donne naissance à l’une des branches de la maison de Montfort-Laval par son mariage avec Anne de Laval en 1404.
10 articles Trier par titre Trier par date de publication
Jean de Montfort, fils de Raoul VIII, héritier de la lignée des Gaël-Montfort, donne naissance à l’une des branches de la maison de Montfort-Laval par son mariage avec Anne de Laval en 1404.
Mahaud est l’unique enfant de Guillaume II de Montfort. À la mort de son père, dans la première moitié du 13e siècle, elle hérite de la seigneurie de Montfort (aujourd’hui Montfort-sur-Meu en Bretagne) séparée de celle de Gaël. À sa mort, la seigneurie de Montfort se trouve amputée du tiers de ses biens.
Geoffroy Ier est seigneur de Montfort et de Gaël de 1162 à 1181. Par son union avec Gervaise de Say, il est aussi possesseur de terres en Normandie. Après sa mort, son fils ainé et son puîné se partagent la seigneurie de Gaël et de Montfort.
Raoul II, seigneur de Montfort et de Gaël, succède à son père Raoul I, mort vers 1099. Prétendant à l’héritage du château de Breteuil dans l’Eure, il s’est illustré dans des combats auprès du roi d’Angleterre, Henri Ier Beauclerc, fils et successeur de Guillaume le Conquérant. Il est aussi fondateur de prieurés en forêt de Brécilien.
Vincent Barleuf est un chanoine régulier qui fut prieur de Saint-Jacques de Montfort de 1647 à 1659. Dans le cadre de la réforme génovéfaine, il œuvre à de nombreuses réalisations architecturales, dont l’abbaye de Paimpont.
9 articles Trier par titre Trier par date de publication
Du 15e siècle à la Révolution, le clergé a gardé le contrôle sur la légende de la cane de Montfort, imposant sa vision aux nombreux auteurs qui s’y sont intéressés. Au début du 19e siècle, l’écrit se libère de l’emprise cléricale et de nouveaux éléments apparaissent, émanant de sources populaires : chansons, croyances, versions différentes de la légende...
En 1824, Blanchard de la Musse introduit le légendaire de la Table Ronde en forêt de Paimpont où il localise un premier « Val sans Retour ».
Jean Côme Damien Poignand est l’inventeur du Tombeau de Merlin en Forêt de Paimpont en 1820. Cette « découverte archéologique » ouvre la voie à l’implantation du légendaire arthurien en forêt de Paimpont.
Félix Bellamy publie La forêt de Bréchéliant en 1896, œuvre monumentale consacrée à la littérature arthurienne et à son implantation en forêt de Paimpont. Constamment réédité depuis plus d’un siècle, son ouvrage demeure la référence sur la forêt de Paimpont-Brocéliande.
2 articles Trier par titre Trier par date de publication
La Croix Robert est un conte publié par l’abbé Oresve en 1858, dans lequel un musicien est poursuivi par des loups dans le bois de Coulon près de Montfort-sur-Meu.
Tu ris, tu ris, bergère est une chanson collectée à Montfort par Adolphe Orain le 22 septembre 1869.
4 articles Trier par titre Trier par date de publication
L’if de la Croix-Huchard à Montfort-sur-Meu est classé dans la catégorie Bel arbre.
Un cormier ou sorbier domestique (Sorbus domestica) de Montfort est répertorié en tant qu’Arbre remarquable. Le cormier du Lestou en Iffendic est quant à lui classé dans la catégorie Bel arbre.
Le chêne au Vendeur était situé dans le bois de Coulon près de Montfort-sur-Meu. Cet arbre exceptionnel, associé à une légende, a été maintes fois mentionné avant d’être abattu en 1967.
La présence du loup en forêt de Paimpont au 19e siècle est attestée par de nombreux documents d’archives. La volonté institutionnelle de l’éradiquer, ainsi que la croissance démographique qui réduit son espace vital ne tardent pas à faire sentir leurs effets. Les loups encore nombreux vers 1800 ont disparu cent ans plus tard.
8 articles Trier par titre Trier par date de publication
Le site mégalithique de la vallée de Poulanière, entre Iffendic et Montfort, est mentionné à partir de 1882. En grande partie détruit, il est à nouveau signalé par le Cerapar en 2015.
Le Grès Saint-Méen est un mégalithe situé dans le Bois de Montfort sur la commune de Talensac. Mentionné dès 1849, il est associé à une légende ainsi qu’à des traditions populaires relatives à la christianisation de la forêt de Brécilien par saint Méen au 6e siècle.
L’église Saint-Nicolas de Montfort abritait plusieurs représentations du miracle de la cane. Cette légende était sculptée sur le maître-autel de l’église, représentée sur un vitrail du 16e siècle, sur une bannière et sur une statue de saint Nicolas du 18e siècle. Ces représentations nous sont connues par des descriptions partielles ou des dessins qui ont survécu à la destruction de l’église en 1798.