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Montfort-sur-Meu

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Mahaud de Montfort

Mahaud est l’unique enfant de Guillaume II de Montfort. À la mort de son père, dans la première moitié du 13e siècle, elle hérite de la seigneurie de Montfort (aujourd’hui Montfort-sur-Meu en Bretagne) séparée de celle de Gaël. À sa mort, la seigneurie de Montfort se trouve amputée du tiers de ses biens.

Raoul II de Gaël-Montfort

Raoul II, seigneur de Montfort et de Gaël, succède à son père Raoul I, mort vers 1099. Prétendant à l’héritage du château de Breteuil dans l’Eure, il s’est illustré dans des combats auprès du roi d’Angleterre, Henri Ier Beauclerc, fils et successeur de Guillaume le Conquérant. Il est aussi fondateur de prieurés en forêt de Brécilien.

Barleuf Vincent

Vincent Barleuf est un chanoine régulier qui fut prieur de Saint-Jacques de Montfort de 1647 à 1659. Dans le cadre de la réforme génovéfaine, il œuvre à de nombreuses réalisations architecturales, dont l’abbaye de Paimpont.

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La cane de Montfort dans les traditions populaires

Du 15e siècle à la Révolution, le clergé a gardé le contrôle sur la légende de la cane de Montfort, imposant sa vision aux nombreux auteurs qui s’y sont intéressés. Au début du 19e siècle, l’écrit se libère de l’emprise cléricale et de nouveaux éléments apparaissent, émanant de sources populaires : chansons, croyances, versions différentes de la légende...

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Le Grès Saint-Méen

Le Grès Saint-Méen est un mégalithe situé dans le Bois de Montfort sur la commune de Talensac. Mentionné dès 1849, il est associé à une légende ainsi qu’à des traditions populaires relatives à la christianisation de la forêt de Brécilien par saint Méen au 6e siècle.

La cane de Montfort et ses représentations disparues

L’église Saint-Nicolas de Montfort abritait plusieurs représentations du miracle de la cane. Cette légende était sculptée sur le maître-autel de l’église, représentée sur un vitrail du 16e siècle, sur une bannière et sur une statue de saint Nicolas du 18e siècle. Ces représentations nous sont connues par des descriptions partielles ou des dessins qui ont survécu à la destruction de l’église en 1798.