Le prieuré de Tréhorenteuc
La paroisse de Tréhorenteuc était un prieuré-cure dépendant de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont.
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La paroisse de Tréhorenteuc était un prieuré-cure dépendant de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont.
François-Marie Cayot-Delandre est un historien et antiquaire breton. Il est l’auteur d’un inventaire historique et archéologique du Morbihan dans lequel il décrit des sites mégalithiques d’Augan, de Saint-Léry et de Tréhorenteuc.
La Gorsedd de Bretagne a organisé des cérémonies druidiques en forêt de Paimpont/Brocéliande. La première d’entre elles a eu lieu en 1951 au Val sans Retour.
Une analyse toponymique du nom de Tréhorenteuc
Alexis Presse, religieux breton et rénovateur de l’abbaye de Boquen, a participé à la Gorsedd Digor de 1951 à Tréhorenteuc.
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Entre 1942 et 1976, l’abbé Gillard, recteur de Tréhorenteuc, publie une vingtaine de brochures consacrées à la forêt de Brocéliande, son histoire, ses légendes, son patrimoine artistique mais aussi à la mystique des nombres et au zodiaque. À sa mort en 1979, l’abbé Rouxel de Néant-sur-Yvel se charge de la réédition des ses œuvres complètes et de ses textes inédits. Depuis 1994, l’Association pour la Sauvegarde des œuvres de l’Abbé Gillard assure la conservation et la mise à disposition du public des livrets écrits pas l’Abbé Henri Gillard.
Quatre versions de la légende de sainte Onenne nous sont parvenues. La plus ancienne provient d’un manuscrit du 18e siècle. La deuxième est collectée à Paimpont à la fin du 19e siècle. L’abbé Gillard est l’auteur des deux dernières écrites en 1943 et en 1971.
Le Miroir aux Fées est le nom donné à partir de 1913 à l’étang ouvrant le Val sans Retour en forêt de Paimpont. Il est situé sur la commune de Paimpont, près de Tréhorenteuc, comme l’ensemble du Val.
Le Val aux Faux Amants ou « Val sans Retour » trouve son origine dans la littérature de la première moitié du 13e siècle. Au 19e siècle, les controverses sur sa localisation en forêt de Paimpont aboutissent à son implantation dans la vallée de Gurvant (ou de Rauco) près de Tréhorenteuc.
Onenne est la patronne secondaire de Tréhorenteuc. C’est Eutrope, évêque de Saintes, qui est d’après la tradition locale le premier saint de la paroisse. Considérée comme une des sœurs du roi Judicaël, Onenne aurait eu une existence historique à la fin du 6e ou au début du 7e siècle.
Onenne a aussi été appelée Onenna, Onnen, Onène ou Ouenne. Son culte n’est attesté que dans la seule paroisse de Tréhorenteuc. Elle possédait son tombeau dans l’église, où trois statues lui étaient dédiées. Les paroissiens se (...)
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Le site archéologique des Buttes aux Tombes a été l’objet de fouilles sauvages durant les années 1920. Un canular de quatre commerçants de Mauron est à l’origine de cet intérêt subit des habitants de Tréhorenteuc pour les trésors soit-disant enfouis dans les landes de Néant.
Ernest du Laurens de la Barre est un écrivain finistérien qui fait partie de la première génération de collecteurs bretons du 19e siècle, après Émile Souvestre et Théodore Hersart de la Villemarqué. Entre 1857 et 1881, il publie une quarantaine de contes, dont six sont situés en forêt de Paimpont.
Le château de Brocéliande
est un conte d’Henri Thébault paru en 1960. Les trois Jean de Brocéliande
en est la version publiée par Patrick Lebrun en 1993.
Les Korrigans de Tréhoranteuk ou la Semaine des nains est un conte d’Ernest du Laurens de la Barre paru en 1857. Il s’agit d’une adaptation en forêt de Paimpont du conte Les Korils de Plaudren d’Émile Souvestre, publié dans le Foyer Breton en 1844.
Les lavandières du Rauco
est un conte de Jean Markale collecté à Tréhorenteuc en 1951. Publié pour la première fois en 1961, ce conte localisé au Val sans Retour en forêt de Paimpont a été repris en gallo par le conteur Patrick Lebrun en 1982.
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Entre 1953 et 1955, Jean Delpech (1916-1988) réalise les gravures de quatre des opuscules de l’abbé Gillard ainsi que le dessin de la mosaïque du Cerf Blanc de l’église de Tréhorenteuc.
Les vestiges d’un enclos, constitués de blocs de poudingue, ont été mis au jour, au lieu-dit Le Landier, aux limites des communes de Tréhorenteuc et de Néant-sur-Yvel. Ils sont interprétés par l’archéologue Jacques Briard comme les éléments d’une structure agraire protohistorique.
L’église de Tréhorenteuc abrite une bannière et une croix de procession du 17e siècle, classées par les Monuments Historiques. Ces objets participent de la volonté de christianisation du culte de Sainte-Onenne par les chanoines de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont.
La « Butte aux Tombes » est un tertre tumulaire datant du Néolithique situé sur la commune de Tréhorenteuc. Il fait partie de l’ensemble mégalithique des « Buttes aux Tombes ».
La fontaine Sainte-Onenne est située à quelques centaines de mètres de l’église de Tréhorenteuc. On s’y rendait en procession avec bannière aux fêtes saintes, accompagné d’oies. Des traditions populaires collectées au 19e siècle lui attribuent le pouvoir de guérir différents maux.