1823-2018
Arbres remarquables de Brocéliande
Essai d’inventaire
Quelques arbres exceptionnels ont été mentionnés au cours du 19e siècle et dans la première partie du 20e siècle sur le massif forestier de Brocéliande. La notion d’Arbre remarquable n’est cependant formalisée qu’à partir des années 1990. Une cinquantaine d’arbres de Brocéliande ont depuis été classés dans les catégories Arbre remarquable, Bel arbre et Curiosité.
Légende de la carte des arbres remarquables
Premiers inventaires
La première moitié du 19e siècle
Au début du 19e siècle, l’intérêt pour les arbres d’exception est rarissime. Un seul arbre du massif forestier de Paimpont retient l’attention de ses contemporains, le chêne au Vendeur dans le bois de Coulon en Montfort-sur-Meu mentionné pour la première fois en 1824.
Une seconde exception apparait sur deux cadastres napoléoniens de communes de la région de Brocéliande, datés de 1823. Le chêne à Dom Guillaume, aujourd’hui disparu, est indiqué sur celui de Paimpont. Sur le cadastre de Maxent, quatre arbres aujourd’hui disparus, sont signalés. Ces arbres sont inscrits en tant que points de repère, éléments du paysage permettant de se situer, plutôt qu’en raison de leur caractère remarquable au sens actuel du terme (âge, taille, grosseur...).
En dehors de ces très rares exemples, en France comme en forêt de Brocéliande, l’intérêt pour les arbres d’exception commence à la fin du 19e siècle.
Les dernières années du 19e siècle
A la fin du 19e siècle, deux des plus importants érudits de la forêt de Paimpont mentionnent certains arbres du massif.
En 1896, Félix Bellamy publie une somme monumentale consacrée à la forêt de Brocéliande. Les deux tomes, de plus de huit cents pages chacun, ne comprennent pourtant que deux références à des arbres d’exception : le chêne à Dom Guillaume, d’une médiocre grosseur
, situé dans le Pâtis du Chêne à Dom Iaume
et le hêtre de Ponthus marquant l’emplacement des ruines d’un château légendaire.
Un gros hêtre que l’on a épargné aux dernières coupes, et qui est à quelques pas à gauche du chemin, permet, tant que le taillis n’aura pas grandi, de reconnaître l’emplacement de Ponthus.
En 1897, le marquis de Bellevüe consacre un long poème au chêne de Lémo en Augan.
[...]
Planté par des Bretons sur la lande bretonne
Depuis combien de fois cent ans, qui le saurait ?
De feuilles, chaque été, son vieux front se couronne,
Et cet arbre à lui seul est toute une forêt.Trois mille hommes pourraient s’abriter sous sa voûte,
Pour enlacer son tronc il faut six bras tendus ;
Et toujours une branche à ses branches s’ajoute,
Inextricable amas de rameaux confondus...
La première moitié du 20e siècle
En 1899, l’administration centrale des Eaux et Forêts fait paraitre une circulaire qui lance les premiers recensements d’arbres aux caractéristiques exceptionnelles. C’est le début d’une catégorisation des arbres en milieu forestier.
Les forêts domaniales ou communales possèdent souvent des arbres renommés dans la contrée, soit par des souvenirs historiques ou légendaires qui s’y rattachent, soit par l’admiration qu’inspire la majesté de leur port ou leurs dimensions exceptionnelles. De tels arbres font partie de la richesse esthétique de la France.
Les premières véritables descriptions d’arbres d’exception du massif forestier de Paimpont sont publiées dans les années qui suivent. Elles sont l’œuvre d’érudits sensibles à cette considération nouvelle pour les arbres.
En 1907, l’un d’entre eux, Édouard Aubrée 1, écrit un article sur les cinq plus beaux arbres d’Ille-et-Vilaine dans lequel il mentionne le chêne de la Victoire à Treffendel, le hêtre de la Gelée et le hêtre de Roche-plate à Paimpont, aujourd’hui disparus.
Sans sortir de l’Ille-et-Vilaine, les curieux des beaux arbres et les évocateurs des temps passés, qu’ont traversés les vieux arbres, trouveraient, j’en suis convaincu, d’agréables motifs d’études et d’excursions à leur portée, qui les dédommageraient dans une certaine mesure de la privation de sujets plus célèbres, plus rares, mais trop éloignés. A ce titre j’en signalerai quelques-uns — ceux seulement que j’ai vus.
Des lois de 1906 et 1930 permettent le classement de sites et monuments naturels à caractère artistique. Certains arbres sont inclus dans ce classement, notamment par les services des Monuments historiques du Morbihan.
En 1926, Félicien Lesourd fait paraitre une enquête sur Les plus gros arbres de France, réactualisée en 1955 par Eugène Le Graverend, qui mentionne plusieurs arbres bretons dont le séquoia géant de Fourneau à Paimpont — LESOURD, Félicien et LE GRAVEREND, Eugène, Les plus gros arbres de France, Bourges, Cercle généalogique du Haut-Berry, 1955. —.
En 1927, Louis Marsille, président de la Société Polymathique du Morbihan, préconise un début d’inventaire des plus vieux arbres du département en commençant par le chêne de Lémo en Augan. — MARSILLE, Louis, « Les plus vieux arbres du Morbihan », Bulletin et mémoires de la Société polymathique du Morbihan, 1927, p. 27-28, Voir en ligne. —
En 1932, l’ouvrage de Charles Le Goffic (1853-1932) consacré à Brocéliande mentionne à son tour les deux plus beaux hêtres de la forêt de Paimpont.
On ferait injure à ce hêtre [le hêtre de la Gelée] resplendissant de santé et à ses émules de la forêt de Paimpont, si on les assimilait à ces courtauds des chemins creux que la serpe ébranche tous les neuf ans, ou à ces stipes désolants de la plaine rennaise qu’on laisse pousser en hauteur et qui ont l’air, après l’émondage, de noirs trognons hyperboliques. Cependant, en ce coin de talus auquel ses racines adhèrent, ou plutôt se sont substituées, il exprime, ce hêtre, un effort presque aussi douloureux que splendide. Je suis trop de mon pays pour ne pas aimer cela, et je salue ce vieux combattant qui a conquis de haute lutte sa place au soleil, ce géant au cent bras, qui en a laissé deux ou trois dans la bataille, de même que je me penche avec une sorte de ferveur sur des restes de souches bombant le sol, ruines d’arbres rasées comme des tours, et dont on ne sait plus, sous la patine et la mousse, si elles sont bois, pierre ou métal : de très vieux bronzes ont cet aspect.
Cet intérêt naissant pour les arbres d’exception se traduit par la publication dans la première moitié du 20e siècle de quelques cartes postales. Trois arbres de la région de Brocéliande, aujourd’hui disparus, ont ainsi été immortalisés : le chêne de la Victoire à Treffendel, le chêne de Lémo à Augan et le hêtre de Roche-Plate à Paimpont.
Redécouvertes contemporaines et inventaires officiels
Les années 1980
Dès le début des années quatre vingts, des membres de l’Association des Amis du Moulin du Châtenay s’intéressent aux arbres exceptionnels du massif forestier de Paimpont. En 1984, Jacky Éalet écrit dans la revue de l’association un article mentionnant deux arbres disparus - le chêne au Vendeur et le chêne à Dom Guillaume - ainsi que huit arbres encore vivants à l’époque de sa publication. 2 — EALET, Jacky, « Les seigneurs de la forêt », Le Châtenay - Journal de l’Association des Amis du Moulin du Châtenay, Mai, 1984, p. 9-12, Voir en ligne. —
- le chêne à Guillotin,
- le châtaignier de Campénéac,
- le chêne de Trébran,
- les cèdres du Bois du Loup,
- le hêtre de la Gelée,
- le hêtre de Roche Plate,
- le hêtre du Val sans Retour,
- le hêtre de Ponthus.
En 1987, Patrick Lebrun, membre actif des Amis du Moulin du Châtenay et journaliste au Ploërmelais, mentionne pour la première fois un arbre situé dans le parc du château de Comper, sous lequel, écrit-il, le roi Arthur serait enterré. Ce chêne, même s’il ne porte pas encore de nom au moment de cette publication, a depuis pris le nom de chêne d’Artus. — LEBRUN, Patrick, « Le domaine de Comper : au confluent de la légende et de l’histoire (1) », Le Ploërmelais, 17 : du 23 au 30 janvier, Ploërmel, 1987, p. 5, Voir en ligne. —
Les années 1990 en Ille-et-Vilaine
Dans les années 1990, certains arbres jusque là qualifiés de « vieux, gros, exceptionnels, remarquables », sont labellisés sous le vocable officiel Arbre remarquable à partir de plusieurs critères. Le premier inventaire officiel concernant le massif forestier de Paimpont est lancé par le Conseil général d’Ille-et-Vilaine.
En 1992, un article paru dans la revue de l’Écomusée de Montfort marque le début de l’inventaire. Une vingtaine d’arbres y sont mentionnés dans la région de Montfort-sur-Meu et sur le massif forestier de Paimpont. L’article comprend une fiche de signalisation à retourner à la Maison de la Consommation et de l’Environnement à Rennes — RICHARD, Anne, « Arbres remarquables en pays de Montfort et de Brocéliande », Glanes en pays pourpré, 1992, p. 8-16, Voir en ligne. —
Le premier inventaire des arbres remarquables d’Ille-et-Vilaine est publié cinq ans plus tard sous la direction de la Maison de la Consommation et de l’Environnement. Seize arbres de la région de Brocéliande y sont référencés. — AMIOT, Christophe, LEBOUC, Yves, LE BOURDELLÈS, Joël, [et al.], Arbres remarquables en Ille-et-Vilaine, Rennes, Apogée, 1997, 157 p. —
- un cormier, un chêne vert et un houx à Iffendic,
- un pin parasol à Maxent,
- un cormier à Montfort,
- un frêne, un alisier torminal, trois hêtres, trois chênes pédonculés, un séquoia géant, un séquoia sempervirent, un tulipier à Paimpont.
Les années 2000 en Morbihan
En 2000, un premier inventaire des arbres remarquables du Morbihan est publié à l’initiative du Conseil général. Six arbres de la région de Brocéliande y sont classés en tant qu’Arbre remarquable. — CONSEIL GÉNÉRAL DU MORBIHAN, Arbres remarquables en Morbihan, Conseil Général du Morbihan, 2000, 56 p. —
- le chêne du château de Comper à Concoret,
- le chêne à Guillotin à Concoret,
- le chêne de Kernéant à Néant-sur-Yvel,
- le chêne du bourg à Saint-Brieuc-de-Mauron,
- l’if du village des Moustiers à Guer,
- le châtaignier de Campénéac.
En 2002, l’inventaire des arbres remarquables du Morbihan est réédité. Trentre-quatre arbres supplémentaires y sont mentionnés dont six arbres de la région de Brocéliande. — CONSEIL GÉNÉRAL DU MORBIHAN, Arbres remarquables en Morbihan, 3e édition, Conseil général du Morbihan, 2002. —
- le cyprès de Lambert du château du Bois du Loup à Augan,
- le sapin d’Espagne du château du Bois du Loup à Augan,
- le chêne vert du Vauniel à Guer,
- le charme de la Noë Rideau à Guer,
- le chêne des Fougerets à Guilliers,
- l’orme champêtre de Saint-Malo-de-Beignon.
2005 — L’ouvrage d’Olivier Hamery
En 2005, dix ans avant l’inventaire du Conseil régional, un ouvrage photographique propose une sélection d’arbres remarquables de Bretagne qui fait découvrir au grand public ce patrimoine méconnu. Olivier Hamery présente treize arbres ou ensemble d’arbres du Pays de Brocéliande.
— HAMERY, Olivier, Arbres remarquables de Bretagne, Plomelin, Editions Palantines, 2005, 173 p. —
- le hêtre de Ponthus à Paimpont,
- le chêne à Guillotin à Concoret,
- le chêne des Hindrés à Paimpont,
- le chêne d’Anatole le Braz à Plélan-Le-Grand
- les chênes creux de la chapelle de Kernéant à Néant-sur-Yvel,
- le chêne du Placitre à Saint-Brieuc-de-Mauron,
- le châtaignier du Pas aux Biches à Campénéac,
- les deux chênes de la Marguenais à Gaël,
- l’orme de Saint-Malo-de-Beignon,
- le charme de Guer,
- l’if des Moustiers à Guer,
- le chêne du château de Comper à Concoret,
- le séquoia géant de Fourneau à Paimpont.
Les années 2010 en Bretagne
En 2014, un inventaire plus complet des arbres remarquables du Morbihan est réalisé. Un ouvrage propose une sélection comptant neuf arbres de la partie morbihannaise de Brocéliande dont deux nouveaux chênes répertoriés : le chêne des Prés à Chesnard et le chêne de Bourgneuf. — KEMPA, Daniel et BERTHIER, Emmanuel, Les arbres remarquables du Morbihan, Département du Morbihan, 2014. —
- le châtaignier du Pas aux biches à Campénéac,
- le chêne à Guillotin à Concoret,
- le chêne des Prés à Chesnard à Concoret,
- le chêne de Bourgneuf à Guilliers,
- les chênes de Kernéant à Néant-sur-Yvel,
- le chêne des lavandières à Saint-Brieuc-de-Mauron,
- l’orme de l’étang d’Aleth à Saint-Malo-de-Beignon,
- l’alisier du Col à Augan,
- le charme de la Noë Rideau à Guer.
En 2015, la Région Bretagne soutient la réalisation d’un inventaire des arbres remarquables par la Maison de la Consommation et de l’Environnement. Vingt-cinq arbres de la région de Brocéliande y sont classés en tant qu’Arbre remarquable. Des arbres ne relevant pas du label Arbre remarquable y sont néanmoins recensés dans deux nouvelles catégories : Bel arbre et Curiosité. — JÉZÉGOU, Mickaël et MAISON DE LA CONSOMMATION ET DE L’ENVIRONNEMENT, Arbres remarquables en Bretagne, Mèze, Biotope, 2015, (« Les cahiers naturalistes de Bretagne »). [pages 174-185] —
L’inventaire régional est disponible en ligne sur le site Arbres remarquables en Bretagne. — MAISON DE LA CONSOMMATION ET DE L’ENVIRONNEMENT, « L’inventaire des arbres remarquables en Bretagne », 2022, Voir en ligne. —
Un inventaire documenté sur Brocéliande
Les ancêtres disparus
Certains arbres aux caractéristiques exceptionnelles ont suffisamment marqué les esprits pour être mentionnés à une époque ou l’intérêt pour les arbres était limité. Trois de ces arbres - le hêtre de la Gelée, le hêtre de Roche Plate et le pin parasol de Maxent - étaient encore vivants à l’époque de l’inventaire de 1992. Tous sont aujourd’hui disparus.
- le chêne au Vendeur à Montfort,
- le chêne à Dom Guillaume à Paimpont,
- le chêne de la Victoire à Treffendel,
- le chêne du Lemo à Augan,
- le chêne de Trébran à Concoret,
- le chêne Notre-Dame à Saint-Péran,
- le hêtre de la Gelée à Paimpont,
- le hêtre de Roche Plate à Paimpont,
- un pin parasol à Maxent.
Arbres remarquables et beaux arbres de Brocéliande
Depuis les années 1990, au gré des différents inventaires officiels, une cinquantaine d’arbres des communes du massif forestier de Paimpont ont été classés dans les catégories Arbre remarquable, Bel arbre et Curiosité.
Alisiers - Sorbus torminalis
- L’alisier torminal du Col à Augan (arbre remarquable)
- L’alisier torminal des Forges de Paimpont (arbre remarquable)
- L’alisier torminal de Trémelin à Iffendic (bel arbre)
Charmes - Carpinus betulus
- Charme de la Noë Rideau à Guer (arbre remarquable)
- Charmes des Forges de Paimpont à Plélan-le-Grand (bel arbre)
Châtaigniers - Castanea sativa
- Châtaignier du Pas aux Biches à Campénéac (arbre remarquable)
- Châtaignier têtard du Marchix à Guer (bel arbre)
- Châtaignier de la Gaptière à Saint-Brieuc de Mauron (bel arbre)
Chênes pédonculés - Quercus robur
- Chêne à Guillotin à Concoret (arbre remarquable)
- Chêne des Prés à Chesnard à Concoret (arbre remarquable)
- Chêne d’Artus à Concoret (arbre remarquable)
- Chêne de La Marguenais à Gaël (arbre remarquable)
- Chêne du Plessis au Provost à Gaël (arbre remarquable)
- Chêne de Guer (bel arbre)
- Chêne de Bourgneuf à Guilliers (arbre remarquable)
- Chêne des Fougerets à Guilliers (arbre remarquable)
- Chêne de La Roche à Monterfil (arbre remarquable)
- Chênes de la chapelle de Kernéant à Néant-sur-Yvel (arbre remarquable)
- Chêne de la Rivière à Maxent (bel arbre)
- Chêne du lieudit « Le Chêne Jouit » à Maxent (bel arbre )
- Chêne de la Chesnaie à Maxent (bel arbre)
- Chêne de Fourneau à Paimpont (arbre remarquable)
- Chêne d’Anatole le Braz aux Forges à Plélan-le-Grand (arbre remarquable)
- Chêne du Placitre à Saint Brieuc-de-Mauron (arbre remarquable)
- Chêne de la Poulnais à Saint-Thurial (curiosité) (disparu en 2017)
Chênes sessiles - Quercus petraea
- Chêne des Hindrés à Paimpont (arbre remarquable)
- Chêne des lavandières ou du Manoir de la Gaptière à Saint-Brieuc-de-Mauron (arbre remarquable)
Chênes verts - Quercus ilex
- Chêne vert de la Brossette à Iffendic (bel arbre)
- Chêne vert du Manoir de la rue Saint-Gurval à Guer (bel arbre)
- Chêne vert du Vauniel à Guer (arbre remarquable)
Cormiers - Sorbus domestica
- Cormier du Lestou à Iffendic (bel arbre)
- Cormier à Montfort (arbre remarquable)
- Cormier des Prés à Chesnard à Concoret (bel arbre)
Cyprès chauve de Louisiane - Taxodium distichum
- Le cyprès chauve de Louisiane du Bois du Loup à Augan (arbre remarquable)
Cyprès de Lambert - Cupressus macrocarpa
- Le cyprès de Lambert du Bois du Loup à Augan (arbre remarquable)
Frênes - Fraxinus excelsior
- Frêne de Trédéal à Paimpont (arbre remarquable)
Hêtres - Fagus sylvaticus
- Hêtre de Ponthus à Paimpont (arbre remarquable)
- Hêtre des voyageurs à Paimpont (arbre remarquable)
Houx communs - Ilex aquifolium
- Houx de la Morinais en Iffendic (arbre remarquable)
Ifs - Taxus baccata
- If du village des Moustiers à Guer (arbre remarquable)
- If de la chapelle du Prado à Guer (bel arbre)
- Ifs communs de Concoret (bel arbre)
- If de Périsac à Maxent (arbre remarquable)
- If de la Croix Huchard à Montfort-sur-Meu (bel arbre)
Ormes - Ulmus minor
- Orme champêtre de l’étang d’Aleth à Saint-Malo-de-Beignon (arbre remarquable)
Sapin d’espagne - Abies pinsapo
Sequoias géants - Sequoiadendron giganteum
- Sequoia géant de Fourneau à Paimpont (arbre remarquable)
- Sequoia géant des Forges de Paimpont (arbre remarquable)
- Sequoia toujours vert de Fourneau à Paimpont (arbre remarquable)
Tilleul argenté ou tilleul de Hongrie - Tilia tomentosa var.
- Tilleul argenté de Treffendel (arbre remarquable)
Tulipier - Liriodendron tulipifera
- Un tulipier à Paimpont (arbre remarquable)