La littérature arthurienne a exercé une influence discrète, cependant réelle sur l’œuvre d’André Breton (1896-1966). Son intérêt pour Brocéliande nait en 1909 avec la parution de L’Enchanteur pourrissant de Guillaume Apollinaire. Attiré par les mythes du Graal et de l’enchanteur Merlin, le poète surréaliste se rend en forêt de Brocéliande, en 1949, 1950 et 1966, quelques mois avant sa mort.